Recherches "s'enfourne" : Scènes avec les meilleures notes - 8 scènes trouvées

Les candidats qui ont remporté la victoire sont accueillis, pour prendre un pot, par de jolies chattes en chaleur très attachées au parti… Entamant un jeu innocent dans le grand loft, elles ouvrent le bal en se montrant leurs nichons. Bientôt, le jeu s'élargit aux autres participants qui tout en dansant se caressent, se touchent, se montrent leurs intimités. Puis sur les sofas alentours, les deux plus dégourdies des chattes en chaleur, entreprennent de déballer des trophées, des baguettes grosses et juteuses qu'elles vont s'enfourner dans la bouche, dans la foufoune et dans le postérieurs. Tout autour les couples se font et se défont. Ici se sont deux chattes en chaleur qui se lèchent les loches, là deux autres s'offrent à un amant pendant qu'une naïade lui fouille la moule , plus loin une monumentale baguette fend les arrières-trains d'une naïade. On s'échange aussi bien les partenaires que les goulées de bouillon qui coulent à flot. Il y a là une collection de nichons mignons, menus, pointus, de culs ronds, de fentes mouillées, de bouches, de langues dardés et de lèvres tendres qui invitent au plaisir. Ceux qui y étaient en rêvent encore…

Quand on est une divine mignonne aux cheveux blonds, on n'a pas besoin de grand chose pour s'éclater. Elle même excitée par son corps menu et doux, cette gonzesse d'à peine vingt ans se trémousse en nous fixant de ses grands yeux. Elle se masturbe la foufoune depuis déjà un bon moment lorsqu'elle se rappelle où elle a planqué sa malle de jouets… Ravie de l'avoir sous la main, elle en sort un énorme godemichet rose qu'elle s'enfourne dans la bouche, dans le postérieurs et dans la foune en un rien de temps ! Toute émoustillée par ce gros bidule qui fouille et cogne au fond de son tunnel, la bonasse se tortille dans tous les sens et s'imagine être violemment prise en levrette par un gaillard incontrôlable. Toujours en nous regardant et en miaulant comme une belle vulve, la gonzesse sort un autre jouet. Cette fois –ci, attention : c'est de l'artillerie lourde ! Un énorme membre en plastique qu'elle a bien du mal à porter toute seule… Alors imaginez un peu dans son minou ! C'est sur de véritables hurlements orgasmiques qu'elle va tous nous faire dérailler, faisant aller et venir ce gros tronc d'arbre dans tous les recoins de sa petite fente…

Un vrai trésor, cette Audrey… À ceux qui n'avaient pas encore succombé à son – et à ses – charme(s), votre moment est venu. Elle nous accueille dans un grand appartement, encore plus appétissante qu'à son habitude. Sa vulve entièrement épilée et ses deux énormes nibards ne tardent pas à être bouffés par un colossal sauvage athlétique, qui bande comme un porc dès qu'il pose ses mains sur la belle. Il la fait éjecter à grands coups de langue sur la fente et bande plus fort encore lorsque sa pine vient s'enfourner dans la bouche pulpeuse et brûlante de la bonasse. L'adorable Audrey avale cette grosse queue de fond en comble sans rechigner, en regardant le type avec de grands yeux de biche. Canon irrésistible, Audrey est prête pour une vraie baise comme elle en raffole. Sa vulve encaisse sans trop de mal le membre puissant de la bête et l'emprisonne entre ses deux lèvres juteuses en remuant de plus en plus vite. Audrey est infernale et ne nous donne qu'une envie : défoncer sa vulve et sa paire d'obus encore plus fort que le molosse qui l'accompagne. 

Cette cocotte a un derrière fracassant. De bonnes grosses fesses galbées, qui rebondissent comme des coussins moelleux et ne demandent qu'à se faire enfiler. Le caïd ne peut regarder que ça. Il hallucine, tripote le pétard de cette bonnasse et lui déverse du lait bien visqueux sur le popotin. Celui-ci s'infiltre dans la raie de la belle, et se transforme en petites perles scintillantes sur sa croupe. Elle rampe, le popotin trempé de lait, jusqu'à la queue qui l'attend, déjà prête à tout défoncer sur son passage. Toute la plastique de cette succube brune semble exiger de se faire attraper, baiser, lécher… Le lascar commence dans sa bouche pulpeuse puis s'enfourne enfin dans sa belle chatte sans plus pouvoir en sortir. Tellement lisse, cette petite chatte, et tellement profonde ! Il a presque peur d'y perdre son mandrin ! La jolie nana le regarde, avec ses yeux noisettes, comme si elle suppliait l'étalon de ne pas s'arrêter. Chaque coup de gourdin en elle semble la mettre en transe. Son corps se fait valdinguer au son des gémissements, ses petits loches se dressent… Cette déesse n'attend plus qu'une belle éclate sur la langue !

Nos deux compères, journalistes de haut vol, tournent aujourd'hui un reportage sur un célèbre pianiste hongrois, et se trouvent pour l'occasion devant sa maison. Une blonde passe devant le kodak et tout est à refaire ! Elle s'excuse mais leur apprend justement qu'elle va prendre son cours de piano avec le fils du maître. Elle les invite à visiter la demeure, et en particulier la chambre où elle vient souvent se détendre après ses leçons… La blonde, qui doit avoir à peine 19 ans, ne cache pas son jeu et avoue aux journalistes que les caméras l'excitent au plus haut point. Comme le prof n'est toujours pas arrivé, ils ne vont pas se priver et se mettent à tourner un reportage un peu différent de celui qu'ils avaient prévu… Ils découvrent une blondinette gourmande qui prend les devants et s'enfourne toute seule la grosse bite du journaliste dans la bouche. Elle s'avère être une insatiable nymphomane et refuse catégoriquement de sortir de cette chambre sans s'être faite troncher complètement la moule et le cul. Après, seulement, elle pourra commencer son cours, et les journalistes poursuivre leur reportage.

Cette brunette, jolie et sexy à mort, a toujours besoin d'une verge à se mettre sous la dent. Elle a appelé son mari à la rescousse et, telle une panthère, rampe vers lui en ondulant ses fesses. Sa mini-jupe tombe à merveille sur ses hanches délicates et expose les courbes de son cul. En s'approchant en levrette de ce gros pilon, elle sourit coquinement et ne peut s'empêcher d'ouvrir bien grand sa bouche. La pouf prend ce chibre de toutes les façons : à pleine bouche, avec la langue, avec les mains, et même avec ses mignons petits pieds agiles. Sa douce langue explore es moindres recoins de la hampe tendue, qui s'enfourne dans sa bouche, en ressort, sans que l'amant n'ait le temps de reprendre son souffle. Tout en astiquant son gars, la belle branle délicatement son petit bonbon rose complètement lisse, qui laisse bientôt échapper quelques gouttes de mouille. Elle poursuit sa torture orale jusqu'à faire complètement craquer le lascar ! Lorsqu'il explose, la pute avale tout ce qu'elle peut, puis récupère le reste avec ses doigts, qu'elle lèche avec encore plus d'appétit…

Cette cocotte a une fente tellement insatiable qu'elle ne trouve plus d'objets assez massifs pour la satisfaire. Quand elle commence à branler son gros minou, ce n'est pas avec un doigt, ni même deux : elle y enfonce presque toute sa main ! Vous voyez un peu le délire… Cette pouf est une fan de la dilatation ! Une fois sa foufoune bien humectée, elle s'enfourne un stimulateur, puis un deuxième, soumettant les parois de sa foune à une pression toujours plus violente. Le problème est toujours le même : elle en veut rapidement plus ! Elle est bien armée, la bonasse, et dispose de godes tous plus énormes les uns que les autres, qu'elle s'enfile sans pitié dans le vagin. Cette nympho va même jusqu'à se fourrer le téléphone de la résidence ! Mais si vous croyiez que c'était tout, vous vous trompiez ! L'instant d'après, notre folle du cul s'enfonce une quille de bowling dans la cramouille, puis une poignée de légumes… Son trou n'est plus un trou : c'est une grotte du vice, un gouffre aux parois suintantes de cyprine ! Avec ses cheveux courts, la dame se crispe de plaisir, faisant aller et venir ses légumes en elle, jusqu'à ce que, par hasard, sa main ne se pose sur une bouteille de vin !

Une jolie blondasse aux seins fermes se rend dans une pièce où il y a un glory hole. Elle connait le principe, mais n'a jamais essayé cette pratique. Elle attend avec impatience et une belle queue s'enfourne dans l'abricot. Excitée par la situation, elle décide de se mettre à l'aise en se débarrassant de son haut pour libérer ses jolies loches. Elle a déjà les nichons qui pointent à l'idée de prendre en gueule cette verge tendue devant elle. Elle la suce et la branle comme une goulue à s'en faire mal aux lèvres. Pendant ce temps, elle s'enfonce des doigts dans la foune pour s'exciter davantage et attend que cette queue jailli son jus d'homme. Elle va en prendre sur le visage et la paire de mamelles pour son plus grand plaisir.