Difficile d'imaginer une pareille poupée se faire littéralement embrocher par un gigantesque tronc noir qui dévaste tout sur son passage. Et pourtant, la miss a tout fait pour rendre ce gars plus furieux qu'un taureau dans l'arène. Elle lui exhibe insolemment sa plastique parfaite devant le nez en le narguant. Comprenez qu'il dérape ! Quand il plonge sa grosse quéquette dans sa bouche, la belle croit qu'elle va s'étouffer. Elle croit même qu'il est impossible de se carrer un tel engin dans la foufoune, et pourtant… Le mastodonte va lui prouver exactement le contraire en plaçant son gros manche à l'entrée de son minou, et en l'enfonçant cruellement au fond. La bonasse découvre de nouvelles sensations et sa crainte laisse la place à un plaisir extrême qui la fait jouir comme une délurée. Ses petites fesses claques à chaque coup de burin infligé par le molosse, qui bourlingue sa vulve et son cul en long, en large et en travers. Il a une dose monumentale de jus à propulser, ses couilles se contractent ; il a tout juste le temps de se retirer pour éclater dans sa petite bouche de salope.