Recherches "voilier," : Scènes les plus récentes - 3 scènes trouvées

Sont-elles des anges, des sirènes, des fées ou des sorcières ? A vous d'en décider. En tout cas, ces deux blondinettes sont de sacrées garces ! Sur le pont de leur voilier, elles mettent leurs corps délicieux à nu, complètement à nu, et caressent leurs petites poitrines fermes en se dévorant des yeux. Leurs sorties en bateau sont toujours un prétexte pour se retrouver seules sans leurs mecs respectifs, et pouvoir se livrer aux dévergondages entre allumeuses. Après s'être langoureusement embrassées, elle sortent leurs munitions : deux beaux godes pour leurs deux belles petites moules ! Le remous des vagues et les coups de gode qu'elles s'envoient font chalouper leurs corps de sirènes d'une manière insoutenable. Elles gémissent à n'en plus pouvoir, enfoncent toujours un peu plus loin leurs joujoux au fond de leur copine, se frottent l'une à l'autre en s'enflammant… Leurs chevelures blondes s'entrelacent, se mélangent, volent dans la brise de printemps. Et tous les marins alentours les matent comme des gars, attendant de voir laquelle des deux jouira le plus fort !

Deux plaisanciers ont ancré leur voilier dans une crique qui n'est pas très fréquentée. Ca tombe bien car leur petite escapade sur cette mer d'huile et sous la chaleur des rayons du soleil les a échauffés et donné l'envie d'une partie de jambes en l'air en plein air. La cocotte est une sylphide avec des petits flotteurs aux tétons bruns qui pointent rien qu'à la pensée des lèvres chaudes de son pervers qui les tête avec douceur. Elle porte un mini bikini qu'elle s'empresse d'enlever dévoilant une petite vulve presque entièrement épilée. La marque du maillot contraste sur son corps bruni mais comme on dit : c'est comme le poulet, c'est le blanc le meilleur... ce qui n'échappe pas au bel amant qui s'attaque directement à ses mignons tétés tout blancs et qui s'occupe avec délice de sa moule étroite et brûlante. Elle jouit une première fois et s'agenouille pour engloutir la pine de son lascar qu'elle suce avec un plaisir non dissimulé. Penchée contre la rambarde, elle va recevoir sa grosse quille dans son étui serré et humide avant de prendre sur sa langue percée tout son foutre gluant.

Le soleil cogne et le courant porte un beau voilier avec, dessus, une naïade délicieuse. Exhibant et caressant son corps élancé et bronzé, elle provoque du regard le capitaine du bateau, qui a déjà baissé les voiles pour aller la rejoindre sur le pont. Le corps de cette beauté est tellement délicat et incroyable que le capitaine est subjugué. À peine arrivé près d'elle, il la sodomise sans préliminaires et lime cette petite rondelle trop serrée pour l'accueillir en entier. Après cette belle entrée en matière, la sirène est plus chaude que jamais et avale sa queue dans sa bouche brûlante de désir. L'amant s'abandonne totalement au clapotis de l'eau, au soleil qui cogne et à cette bouche saliveuse qui va et vient le long de sa hampe. Après ce moment de répit, le pervers est fin prêt pour prendre enfin le minou de cette sirène. Il plonge sa pine dans sa moule et la fille grimpe sur lui pour se déhancher voluptueusement sur sa tige. Elle se remue comme un serpent en couinant, puis sent la grosse queue de son garçon regagner en plein dans son cul. Le bateau bouge de plus en plus fort mais la belle, elle, a déjà chaviré…