Recherches "l'intérieur…" : Scènes les plus récentes - 4 scènes trouvées

C'est une vraie blonde, celle-ci, et une vraie cocotte aussi. Elle est tellement jolie que son caïd ne peut que l'embrasser en fourrant sa langue dans sa belle bouche en cœur, puis la déshabille doucement pour admirer les courbes parfaites (mais parfaites !) de la belle. Il se délecte de ses délicieux petits obus, délicatement formés, puis laisse la blonde descendre jusqu'au sol. Sa bouche s'ouvre et se retrouve envahie par une colonne de chair en érection, qu'elle tente tant bien que mal d'engouffrer. Chacun son tour : la petite culotte surbandante de la blondinette vole en éclat, et sa foune se fait manger, laper, croquer, lui procurant une sensation de légèreté inouïe… L'instant d'après la bonasse sent le gland gonflé du bonhomme se placer à l'entrée de ses lèvres, et pousser doucement à l'intérieur… La fornication est lancée, et bat vite son plein ! Les yeux bleus ciel de la fille blonde semblent supplier à tout instant des coups de reins plus puissants, plus vaillants… L'individu retourne ce bolide et la baise en levrette en regardant ses magnifiques petites fesses vaciller tant qu'elles peuvent...

Ce garçon ne se sent bien que lorsqu'il est maltraité, utilisé comme un objet par une maîtresse cruelle et sexy. Il attend, dans sa combinaison de latex, que la poule vienne le chercher et le fasse ramper comme un cancrelat, avant de lui administrer toutes les tortures qui lui passent par la tête. La maîtresse en chef est une blonde platine au corset sur le point d'exploser tant ses mégas melons poussent à l'intérieur… Elle tient son esclave en laisse, se débarrasse de ses cendres directement dans sa bouche puis passe à l'étape suivante. Le gars se retrouve nu, entouré de sa maîtresse et d'une autre dominatrice impitoyable. Il se fait pincer les boobs, ligoter les valseuses et frapper le visage à coups de cravache. Il sent l'excitation monter en lui en même temps que la douleur… À quatre pattes, le cul en l'air, il est enfin prêt à subir la violence des coups de cravache sur ses fesses, en écoutant ces deux salopes cruelles rire de sa douleur. L'humiliation est à son comble. Le plaisir de la chair, aussi…

Cette petite poule, la vingtaine, fait voler sa jupette à fleur pour nous aguicher. Elle possède peut-être la plus belle petite chatte à des kilomètres à la ronde ! Ses deux lèvres complètement vierges de poils se gonflent et se referment sur sa foufoune lisse, soyeuse et qui a l'air plus fine qu'une allumette. Ce qu'elle est venue chercher ne tarde pas à faire son apparition : une belle verge toute droite, massive, terrible ! Jamais un tel engin ne s'est engouffré en elle à fond, ne l'a ramoné de l'intérieur… Elle s'accroupit donc devant le Saint-Organe et ouvre délicatement sa bouche pour bien l'humecter. Quand elle se sent prête, la ténébreuse se couche sur le dos et écarte un peu ses jambes pour laisser le beau chibre s'enfiler tout droit entre ses lèvres. Elle crie de douleur et de plaisir, un curieux mélange qui la fait décoller instantanément. Elle est prête pour connaître la pénétration la plus intense de sa vie ! Les mains au sol, la tête en bas, elle laisse l'amant la prendre en brouette et enfoncer sa bite si loin en elle qu'elle se sent complètement envahie par l'engin. Une sensation nouvelle, pour elle, et bien plus jouissive qu'un grand 8 !

C'est l'heure de la séance photo de Rio, la belle blondasse chaude comme le soleil. Aujourd'hui, elle est dans une forme resplendissante et elle est prête à se donner à fond devant le kodak. Dès qu'elle aperçoit son photographe, elle joue à l'aguicheuse devant lui pour être sûre qu'il ne puisse pas résister à son corps. Voilà qu'elle commence à devenir de plus en plus perverse et cochonne, ce qui laisse notre photographe pantois, avec un gros zob gonflée dans son futal ! Cette dame enlève l'appareil et commence à lui arracher les vêtements pour lui dévorer la pine. Aucun moyen de l'arrêter : cette grosse nympho attend simplement qu'il lui pilonne le sexe, tout humide d'excitation et brûlant comme le feu. Cette bonasse est souple : elle offre des positions hors du commun à son photographe, qui n'a jamais vu un tel bolide à l'œuvre. Il plonge en elle, ressort sa queue trempée, la refourre à l'intérieur… Après une limée comme elle les aime, la pétasse se retourne et offre une nouvelle fois sa bouche pulpeuse à le phallus du photographe.