Recherches "l'effort" : Scènes les plus récentes - 6 scènes trouvées

Alors ça les amis c'est de la leçon de fitness ! Notre coquine prend des cours sur la plage avec un garçon robuste qui est un chaud lapin. Elle aussi d'ailleurs ne se prive pas de regarder le paquet de son prof qui lui fait envie. Rapidement, il se sert de sa musculature pour la soulever et lui dévorer ses gros loches avant de la faire mettre à quatre pattes pour lui bouffer les orifices qui sont mielleux et transpirants. Après une branlette espagnole et un pompier à même le sable, notre jolie coquine se fait remplir à quatre pattes, en missionnaire, debout et même dans des positions très acrobatiques que je vous laisserai découvrir pour vous donner un maximum de plaisir. Non seulement la jolie fille sera transpirante de l'effort, mais aura aussi le fluide naturel de son professeur de fitness sur sa jolie poitrine gonflée de désir.

Dans la douche après une partie de soccer, deux beaux sportifs aux idées déjantées se dévorent des yeux dans leur costume d'Adam… En un seul regard, ils savent qu'ils sont sur la même longueur d'ondes. L'eau chaude qui coule sur leurs corps fatigués par l'effort réveille des sensations délicieuses… Ils s'approchent l'un de l'autre et s'embrassent à pleine bouche tout en frottant leurs bas-ventres ensemble. Rapidement, leurs queues se dressent au contact de la peau de l'autre et le désir monte d'un cran. Le plus déterminé des deux se penche dans la douche et commence à lécher le kiki de son partenaire en massant lascivement ses testicules. Le caïd est tellement bandé qu'il pense qu'il va éjecter sans retenue. Mais non, son compagnon a d'autres idées en tête… Lui aussi veut se faire bouffer. Après une fellation à couper le souffle, il se laisse perforer le baba par la nouvelle recrue pour ensuite recevoir la giclée de miel en pleine bouche…

Ils ont le chic, les américains, pour manier le bâton et la balle. Dans le vestiaire du terrain de balle, les individus se changent après une chaude bataille sur le champ. Ils sont en sueur, ils ont un rush d'adrénaline et la libido à fleur de peau. Avant de rentrer à la bicoque, pourquoi ne pas s'amuser un peu entre mecs ? Les amants ont des baguettes massives, gonflées par l'effort et un peu par la promiscuité du vestiaire. Rien de tel qu'une bonne baguette pour se préparer la dalle à descendre des bières. Les trois mecs se lancent des défis. Le premier à venir, le second à se prendre une batte dans les miches par le petit bout, le troisième à se prendre une queue, puis à se reprendre une batte par le gros bout cette fois, ouch ! Mais enfin, tout ce qui compte c'est le plaisir. Et ils s'en donnent pour la peine ! Les trois baguettes se font reluire, les trois culs se font enfiler et les trois bouches se roulent des patins d'enfer. Les culs d'enfers sont élargis dans la frénésie de la victoire des champions de la batte, et de le membre viril !

Après une partie de hockey épuisante, un beau grand gaillard s'étend sur le lit de sa chambre d'hôtel. Son corps endolori par l'effort commence à se détendre et il lui vient une envie de se branler. Sans avertir, un de ses coéquipiers s'immisce dans sa chambre et le surprend en pleine entreprise masturbatoire. En une seconde, le malaise s'estompe et le joueur étendu sur le lit commence à se branler plus fort sous le regard évocateur de son copain. Ce dernier s'avance vers lui et se penche pour l'embrasser. Rapidement, il se déshabille aussi et colle son corps chaud contre le sien. Tout de suite, il se met lui aussi à bander et se met à caresser le kiki de son nouvel amant avec frénésie. Il trouve son zgeg si alléchante qu'il ne peut s'empêcher de la prendre bien au fond de sa bouche et de la sucer comme si c'était la sienne. Les deux hockeyeurs sont devenus deux vraies bêtes de sexe et ne semblent pas fatigués du tout. Même qu'ils osent s'aventurer encore plus loin !

Sur un banc public, un garçon pensif attend le miracle. Il est seul mais son imagination l'emporte vers le paradis. Il imagine le plus beau des gars, nu, la baguette déjà raidie, qu'il tient dans sa main. S'approchant de lui, il l'embrasse avant de saisir la baguette dans sa main pour la mettre entre ses lèvres tendres et la sucer longuement. C'est un beau spécimen, il a une odeur musquée, des gigots musclées, un ventre ferme et il apprécie les caresses de son partenaire et il se dresse et de toute sa hauteur lui saisit la tête. La baguette immense paraît encore plus grosse à deux pouces de ses yeux, il éprouve une forte impression… et désire ardemment cette baguette dans son cul. Il s'est à poil lui aussi et agenouillé sur le banc il tend ses fesses dans l'air souhaitant recevoir le chibre raide de son partenaire au fond de lui. Maintenant assis sur lui, il s'enfonce, la douleur fait place à une sensation de démangeaison que seule une vigoureuse friction pourra soulager. Il dirige le mouvement, solidement enfilé sur la baguette du type, il l'enfonce plus creux encore, comme si c'était possible et son corps et sa baguette sont bandés dans l'effort. Ce banc se prête à toutes les positions qu'il adopte facilement avec son ami imaginaire. Lorsqu'il sortira de sa torpeur il aura du mal à s'expliquer comment tout ce bouillon a pu se retrouver sur son abdomen…

Deux chaudasses prêtes à tout sont au salon, occupées à tenter le beau mari qui se désape pour elles. Joignant leurs gestes aux siens, elles retirent tout ce qui cache leurs belles silhouette. Petit haut, short mini, bijoux discrets, maquillage bien fait, elles se sont préparées pour se plaire l'une à l'autre. Sous ces apparences se cachent des boules rondes aux cernes appétissants, des vulves bien épilées, sur des corps parfaits. Elles se comblent et sont attirées par le membre tendu du mec qui va pénétrer leur temple. Athéna et Didon, les déesses du salon, s'acharnent sur le membre de l'Apollon dont les arrières-trains musclées font éjecter leur fontaine. Un chibre bien échauffé et lubrifié s'apprête à les passer au tordeur la plus grande d'abord qu'il pistonnera debout, puis l'autre à contre-pied les babas en l'air. Elles prêtent jambes et bras à l'effort commun. Pour la partie, au garde à vous, sortez les culs d'enfers, pointez les rotoplos, bite au cul. La grande est encore une fois prise à partie la première pendant que sa copine salope se tape la massue de la statue d'airain. À deux elles savent y faire. Et puis pour subir le supplice charmant elle s'y entendent avec les pals poussées au rouge.