La cabane du campus a vu passer bien des étudiants. Dans cette chambre, deux d'entre eux se sont découverts plus intimement. En slip, à même sa table d'étude l'un s'est approché de l'autre et l'a gratifié d'un patin avant d'écarter l'élastique de son caleçon pour goûter son zgeg tendre et chaude. Il n'a pas eu souvent de telles expériences et quand l'autre a répondu à ses avances par des caresses semblables, qu'ils ont tous deux enlevé leur sous vêtement, ils se sont livrés sans frein à la découverte. En tête-bêche, tête à queue, les deux copains se caressent le fion, l'oignon et le zob, enfoncent des doigts dans la pastille, avant de passer aux choses sérieuses. Déjà au sommet de l'envie, le premier écarte les babas de l'autre et y guide sa pine dans l'abricot qui s'ouvre à lui. Il remue des hanches d'une façon rythmée puis on intervertit les rôles. L'autre se cale profondément le trou du cul sur le mandrin de son copain étendu sur le divan. Puis dans un concert de souffles courts, les deux amis s'épanchent l'un sur l'autre.