Cette cocotte ne peut pas prendre de bain sans se toucher ou, mieux, se faire prendre par deux grosses tiges en même temps. Dès qu'on la retrouve, elle a deux doigts coincés au fond de la fente et regarde la caméra d'un air insolent. Elle les fourre dans sa bouche pour goûter l'arôme de sa foufe et, quand elle relève la tête, deux gros troncs lui font face. Ca y est, ses sauveurs sont arrivés ! Ils ne perdent pas une seconde de plus et se font sucer en même temps entre les lèvres de cette dame, qui les invite bientôt à la rejoindre dans le bain. De toute façon, les veinards n'avaient pas besoin d'invitation ! Ils font irruption dans le bain ; l'un d'entre eux se cale derrière la fille et la transperce à quatre pattes sans pitié. L'autre continue de lui remplir la bouche de chair, avant de prendre son tour dans la cramouille béante de la belle. Ses jambes toutes maigres se font écarter, choper, malmener, et sa foufe prend tellement de coups de queue qu'elle ne s'en rend même plus compte. La morue n'a plus qu'à s'abandonner à son plaisir, et à ouvrir grand sa gueule quand on le lui demandera !