Recherches "démangeaison" : Scènes les plus récentes - 5 scènes trouvées

La paire de mamelles de cette déesse brune est tout simplement stupéfiante. Avec son petit tailleur bien échancré, elle en fait voir des vertes et des pas mûres à tous les bonshommes qu'elle croise. Victime de démangeaisons vaginales chroniques, la belle nymphe décroche son téléphone et appelle son pilonneur fétiche à la rescousse. Lorsque celui-ci arrive, il la trouve déjà en train de se faire gonfler le clitoris à l'aide d'un gode, qu'elle abandonne tout de suite pour se jeter sur son manche. Mais l'amant a un petit faible pour ses pieds délicieux. Il regarde le corps plantureux de la belle tandis qu'elle masturbe sensuellement son zob entre ses petons, ses géants melons complètement dressés d'excitation. Après un petit tour orgasmique dans la bouche profonde de cette succube, le lascar a une soudaine envie de rebaiser ses pieds, en les tartinant d'une espèce de pâte à crêpe dans laquelle il se branle frénétiquement. Décidément, avec une nana aussi bandante que cette brunette, les idées ne manquent jamais ! Ce n'est qu'après lui avoir fait subir tout un tas de choses qu'il pourra enfin cracher sa liqueur sur cette grosse paire de loches !

C'est dans cette sombre cave que les plus beaux frissons ont atteint nos amis. Ils se sont retrouvés au premier, embrassés dans l'escalier et déshabillés entre les murs nus de cet endroit sordide et plutôt mal adapté aux ébats. Entre les cartons, ils se sucent le kiki à tour de rôle, savourant la sueur qui suinte de leur peau sous l'excitation. Ils se sucent le zgeg et s'embrassent, s'excitent et se frôlent. Le désir entraîne leurs mains et leurs bouches au siège du plaisir, le popotin en feu appelant la lance des sapeurs. Le premier s'y glisse en douce et ramone le conduit de son ami. Libre sous le centre de gravité, le zob de l'autre fend l'air avant de trouver à son tour un orifice où s'introduire. Enfilé à cheval sur son nouvel ami, il s'active pour calmer la démangeaison au fond de son cul. Dans sa position, face à son veinard, il peut branler la tige avec sa main libre. Il retarde le plus possible le moment de l'éjaculation, la sienne comme celle de son copain. Il explore les muscles avec sa langue charnue et mobile puis, n'en pouvant plus, s'épanche dans un râle étouffé...

Sur un banc public, un garçon pensif attend le miracle. Il est seul mais son imagination l'emporte vers le paradis. Il imagine le plus beau des gars, nu, la baguette déjà raidie, qu'il tient dans sa main. S'approchant de lui, il l'embrasse avant de saisir la baguette dans sa main pour la mettre entre ses lèvres tendres et la sucer longuement. C'est un beau spécimen, il a une odeur musquée, des gigots musclées, un ventre ferme et il apprécie les caresses de son partenaire et il se dresse et de toute sa hauteur lui saisit la tête. La baguette immense paraît encore plus grosse à deux pouces de ses yeux, il éprouve une forte impression… et désire ardemment cette baguette dans son cul. Il s'est à poil lui aussi et agenouillé sur le banc il tend ses fesses dans l'air souhaitant recevoir le chibre raide de son partenaire au fond de lui. Maintenant assis sur lui, il s'enfonce, la douleur fait place à une sensation de démangeaison que seule une vigoureuse friction pourra soulager. Il dirige le mouvement, solidement enfilé sur la baguette du type, il l'enfonce plus creux encore, comme si c'était possible et son corps et sa baguette sont bandés dans l'effort. Ce banc se prête à toutes les positions qu'il adopte facilement avec son ami imaginaire. Lorsqu'il sortira de sa torpeur il aura du mal à s'expliquer comment tout ce bouillon a pu se retrouver sur son abdomen…

Léona se déplace dans la résidence au trois quarts déshabillé. Ses instincts lui jouent parfois des tours et si ses chaleurs sont choses du passé, elle éprouve parfois de grosses bouffées de désir qu'elle ne peu calmer sans se livrer à une séance de masturbation effrénée. Se jetant sur son plumard, elle sent le besoin de triturer la pointe de ses loches qui la démange comme mille fourmis et plus elle les masse et les titille, plus sa foufe réclame ses soins. Elle écarte alors son slip et glisse les doigts dans sa caverne à la recherche de son clitoris. Elle alterne les caresses entre l'ouverture de sa foune et la perle de son entre jambe. Mais rien n'y fait, elle éprouve toujours cette sensation de vide à combler comme un junkie qui n'aurait pas sa dose. Elle recourt alors à un petit joujou qu'elle s'est procurée dans un sex-shop, de loin son meilleur achat depuis qu'elle a perdu son lascar. Léona soulage alors l'atroce démangeaison par l'introduction du engin factice profondément dans sa fente . Fouillant son abricot comme on fouille dans ses souvenirs, elle cherche des sensations plus fortes et trouve le vagin de son pot d'échappement et y enfonce le joujou puis un doigt qu'elle maintient là pendant qu'elle replonge le joujou dans sa caverne. À force de manipulations elle finit par atteindre le palier souhaité puis le plateau d'où elle ne reviendra qu'une fois comblée par ses propres attouchements.

Voilà un spectacle auquel on assiste beaucoup trop rarement… Nous sommes dans l'intimité totale d'un bel époux robuste au charme tout simplement parfait, qui ressent bientôt de terribles démangeaisons au niveau du caleçon. Plongeant finalement sa main entre ses jambes, il saisit son gros sexe déjà un peu palpitant et réalise qu'il a une furieuse envie de sexe. Grâce à ses gestes suaves et experts, il ne tarde pas à avoir une érection phénoménale se branle allègrement en regardant la petite caméra qu'il a placée dans sa chambre. Ivre de plaisir, notre beau gosse se tortille dans tous les sens et nous laisse admirer les moindres recoins de son fessier, un trou de balle ferme et solide comme du roc qu'il agite tout en continuant sa séance de branlette. Se sentant sur le point de craquer, notre homme se remet sur le dos et nous honore de longs traits d'éjaculation qui viennent s'écraser sur les replis saillants de ses muscles.