Recherches "d'asiatique." : Scènes les plus récentes - 2 scènes trouvées

C'est marqué sur son visage que cette cocotte est une géante grosse cochonne ! Elle pue le zob, si j'ose dire, avec sa bouche indécemment pulpeuse et ses yeux d'asiatique. Sa croupe a beau être étroite, elle est moelleuse et rebondie. Ses obus sont fermes, tiennent tout seuls et ne demandent qu'un coup de dent puissant pour se dresser. Dans sa gorge bouillante, le veinard enfile son zgeg et le pousse le plus loin qu'il peut. Ca sait sucer, une bombasse pareille ! Rien à lui apprendre : l'individu l'attrape et la pénètre. Sa foufoune n'a pas un poil ; elle est rose, chaude et d'une profondeur qui augmente de minute en minute. Avec une bite épais et raide entre les cuisses, notre salope donne le meilleur d'elle même. Elle sent ses parois s'enrouler autour du manche et son petit vagin se contracter. Elle va le faire éclabousser jusqu'à la dernière goutte, cette racaille. Pari tenu ! Et elle en veut plein la bouche, plein la joue, plein partout !

Voilà une véritable bombe asiatique prête à tout pour nous faire vider tout de suite dans notre froc. Elle est en sous-vêtements lorsque nous entrons et se lèche les babines d'impatience. Son corps sculpté à la perfection est irrésistible, et son appétit pour les choses du sexe ne l'est pas moins. Si elle sourit aussi facilement, c'est qu'elle sait très bien que deux gaillards bien équipés sont en route pour venir la secourir. Tiens, ils font irruption ! Déjà nue sur son lit comme la dernière des pestes, elle les accueille en ouvrant grand sa bouche et en suçant comme une goulue leurs deux membres palpitants. Les deux types s'enfoncent tellement profondément dans la gorge de cette pouf qu'ils ont presque peur de perdre leur bite. À la voir se trémousser de la sorte, ils se décident vite à l'honorer comme il se doit et commencent à la baiser violemment, plongeant leurs barreaux surexcités dans cette petite fente serrée d'Asiatique. La belle, en tout cas, est complètement lâchée et rebondit aux quatre coins de l'endroit en poussant de gros cris de rut. Et tous ses trous diaboliques appellent à la pine…