Recherches "consciencieusement." : Scènes les plus récentes - 6 scènes trouvées

Pendant qu'elle est en train de réviser avec son mari, cette jeune étudiante a une soudaine envie de sexe. Elle va lui en faire part et il viendra lui peloter ses tout petits flotteurs et lui offrir son zob à sucer. Excitée d'avoir senti un zob palpiter sur sa langue, l'étudiante s'allongera sur le bureau où elle révisait quelques instants plus tôt pour se faire dévorer le vagin. Son gars vient enfoncer sa mega quéquette dans sa moule brûlante et lui tamponne la chatte profondément. Les étudiants vont s'amuser et alterner les positions sur cette chaise et sur la table. Elle finira à plat ventre avec un gros mandrin à l'intérieur du vagin qui se retirera au dernier moment pour expulser une giga quantité de semence qu'elle nettoiera consciencieusement.

Cette belle Indienne est un délice pour les yeux… Mais alors pour le kiki ! Ses petits sous-vêtements roses n'ont pas vocation à rester éternellement sur elle, ne vous inquiétez pas. Le caïd qui est là découvre vite ses obus bruns, son petit pétard plus étroit que n'importe quel pétard, et se sent subitement pris d'une violente érection. La finesse de cette chaudasse est stupéfiante, de même que le teint hâlé de sa peau. Il reste debout à la regarder, puis la voit descendre sur ses genoux en ouvrant grand sa bouche. La température qui y règne manque de faire éclater le gland du bonhomme ! Il est en érection comme un chacal, et cale sa trique entre les rotoplos fermes de l'Indienne, qui le branle consciencieusement. Ah, il se réjouit, il se frotte les mains car il sait que bientôt il va offrir à sa queue le voyage ultime : une foufoune toute serrée et toute offerte ! La bouche de cette belle brune ne servira plus qu'à une chose : gémir de plaisir. Dès qu'il l'embroche, il sent la naïve décoller, trembler, se crisper. Et il va retourner son corps dans tellement de positions que c'en est indécent !

En balade sur le port par une chaude soirée d'été, deux amants dopés par l'air marin ont dans l'idée de faire l'amour sur le bastingage d'un bateau accosté près d'eux. Ils sont excités rien qu'à penser que des promeneurs pourraient les surprendre dans leurs ébats et se mettent à bander comme des ânes. Assis sur la rambarde l'un deux se laisse déboutonner le pantalon pour libérer sa belle queue bandée, avide des suçons de son ami qui s'exécute consciencieusement. Après cette fellation des plus satisfaisantes, il va se mettre à genoux pour rendre à son amoureux le plaisir intense qu'il vient de lui donner en engloutissant dans sa bouche son zgeg tendue qu'il va pomper jusqu'à la lie. Nos gays ont encore du ressort et ils vont s'embrocher à même le sol ne se souciant plus des éventuels voyeurs tellement le bonheur d'être l'un dans l'autre est grand. Le contact de leurs membres raides dans leurs rondelles est puissant et jouissif et ils explosent de concert dans des gémissements rauques de plaisir.

Le regard dans le vide, il attend son soumis. Impatient, il glisse alors une main dans son caleçon, se caresse le sexe et sent déjà l'excitation monter. Le jeune homme arrive, silencieux, et se couche près de lui. Nus, tels deux apollons, ils s'embrassent, se caressent et leurs verges grossissent à vue d'œil. Debout, pour mieux le dominer, il lui ordonne de le sucer, de prendre en bouche son kiki entière, ce que fait l'autre sans dire un mot et en effectuant sa tache consciencieusement. Le plaisir se lit sur son visage. Le soumis sent le zgeg gonfler en lui, la sienne prenant du volume. Allongé, il se fait prendre avec fougue et violence. Il se branle pour se donner encore plus de plaisir ; on lui demande ensuite de se mettre debout, et là, encore, il s'exécute. Il s'en reprend encore plein le popotin et la semence se met à éclater en lui. Ils se rallongent tous les deux sur le lit, se masturbant comme des dingues... Le docile laisse enfin échapper l'unique cri de plaisir qu'on lui a autorisé. Il est récompensé de son bon travail par un délicat baiser.

Elles ne sont pas légion, les cocottes qui se baladent en petit veston dans le bureau après les heures d'ouverture. Celle-là dévoile ses charmes cachés sous un bustier serti de strass dont les plus belles se cachent dessous et ont la forme de jolis nénés rose-bruns. Elle s'avance vers le chef du département, des documents à la main, cachant sa vertu, mais s'agenouille aussitôt pour saisir un tout autre dossier chaud. Elle s'y consacre consciencieusement. Dans ses grands yeux on décèle l'intérêt qu'elle porte au sujet. Elle se donne de la peine et se positionne sur le champ, le dos étendu sur le bureau. Elle écarte tout ce qui peut nuire à l'approfondissement de la question. Le soutif, le slip, mais pas les bijoux qui lui font une jolie tête. Le patron exprime son argument entre ses jambes et elle lui concède le point G. Changeant de position, elle s'affirme fermement fichée sur un zob rigide. Elle offre son cul à l'expertise du chef qui lui mitonne la casserole alors qu'elle bouge des hanches sur la chaise exécutif. En fin de compte, le chef a le dernier mot en l'inondant en pleine face, d'arguments chauds et visqueux!

Une brunette absolument torride a pris son aile une jeune garce de la vingtaine, avide de nouvelles expériences. Elle mange et lèche les flotteurs délicats de la brune, puis lui offre son vagin sur le canapé. L'autre est ravie de pouvoir se repaître d'une petite fente légèrement poilue et divinement juteuse… L'ombre d'un homme se dessine Il entre, nu, la bite dressé, et se pointe devant les deux femmes enfiévrées qui se mettent à le lécher consciencieusement. Son gland se gonfle, sa hampe est secouée de spasmes et les deux créatures l'avalent et l'engouffrent à n'en plus finir. Il est fin prêt pour les satisfaire. La ténébreuse lui envoie sa proie pour qu'il s'en occupe ; elle embroche la minette sur le zgeg raidi du type, qui s'enfonce avec peine dans sa toute petite chatte. Mais en apercevant le pétard de la maîtresse, il ne peut s'empêcher de sauter dessus et de planter son dard tout droit dans son fion. Avec deux aussi jolies poupées à défoncer, l'individu ne se sent plus et s'en donne à cœur joie dans tous leurs orifices, passant de l'une à l'autre sans même s'en apercevoir. Un fois au comble du plaisir, il sait qu'un dernier délice l'attend : voir les deux salopes s'embrasser avec la bouche pleine de jus…