Recherches "carrer" : Scènes les plus récentes - 4 scènes trouvées

Ce jeune couple étudiant profite de cet après-midi de relâche pour baiser. La jeune fille est une belle blondasse gourmande de bites et de crème qui suce comme une goulue le zob de son partenaire. Elle apprécie la sentir aller dans sa bouche et venir dans sa fente. Son veinard profite de la levrette pour lui carrer le majeur dans les miches lui faisant ainsi comprendre qu'il veut l'enculer profondément. Il sait qu'elle aime ça cette fille et effectivement, son mandrin s'enfonce dans son conduit anal sans aucune difficulté. Elle a le trou du cul bien ouvert et c'est avec plaisir qu'il va pouvoir lui retourner le conduit anal et lui donner beaucoup de plaisir.

Bien sûr qu'on la mangerait toute crue, cette bombasse brune dans sa robe verte à faire bander les morts ! Surtout quand elle l'enlève, remarquez, et qu'elle nous montre ses deux énormes nibards qui pointent et semblent nous inviter à mordre dedans. Sa grande bouche, ses yeux de feu et sa vulve entièrement épilée vous mettront les sens en ébullition. La belle greluche sait, de plus, comment sucer un zob et la carrer tout au fond de sa gorge en y étalant sa salive brûlante. Et que dire de sa foufoune, plus chaude que les enfers, et que le gars pénètre sans précaution aucune, pour défoncer la belle contre le mur du salon ? Il la retourne et la baise à quatre pattes en lui infligeant de grands coups de pilon, et en faisant rougir son cul miraculeux avec de grosses fessées à répétition. Il ne va pas la laisser repartir comme ça, et continue de la défoncer dans toutes les positions. Il termine en s'offrant un plaisir dont on ne pourrait se passer : gicler de longs traits de jus dans la bouche grande ouverte de la belle.

Difficile d'imaginer une pareille poupée se faire littéralement embrocher par un gigantesque tronc noir qui dévaste tout sur son passage. Et pourtant, la miss a tout fait pour rendre ce gars plus furieux qu'un taureau dans l'arène. Elle lui exhibe insolemment sa plastique parfaite devant le nez en le narguant. Comprenez qu'il dérape ! Quand il plonge sa grosse quéquette dans sa bouche, la belle croit qu'elle va s'étouffer. Elle croit même qu'il est impossible de se carrer un tel engin dans la foufoune, et pourtant… Le mastodonte va lui prouver exactement le contraire en plaçant son gros manche à l'entrée de son minou, et en l'enfonçant cruellement au fond. La bonasse découvre de nouvelles sensations et sa crainte laisse la place à un plaisir extrême qui la fait jouir comme une délurée. Ses petites fesses claques à chaque coup de burin infligé par le molosse, qui bourlingue sa vulve et son cul en long, en large et en travers. Il a une dose monumentale de jus à propulser, ses couilles se contractent ; il a tout juste le temps de se retirer pour éclater dans sa petite bouche de salope.

Une ravissante petite chienne de vingt ans a invité un copain chez elle pour lui échauffer les sens. Elle est habillée en vraie salope, aguicheuse au possible, et attrape son petit gode rose pour se le carrer dans la rondelle. Tout de suite, comme ça sans prévenir ! Cette infâme petite salope, belle comme pas deux, il est vrai, surexcite tellement le caïd qu'il plonge sur elle et lui insère son machin directement dans les miches. La poulette jouit à tue-tête quand le veinard se retire et lui cale son pilon dans la bouche. Il retourne quand même vite dans le cul de cette beauté du diable, pour la pilonner et la repilonner comme un sauvage, l'embrasser, la croquer et plus si affinités. Il y a terriblement d'affinités et la fille supplie qu'on lui baise la vulve, enfin. La naïve est tellement sexy qu'elle obtient à chaque fois tout ce qu'elle veut et se fait bientôt chevaucher le trou dans tous les sens, avant de se prendre une géante rasade de crème dans la bouche, qu'elle a bien méritée !