Il prodigue beau, il prodigue chaud, quel est ce doux étranger qui s'approche, quel est ce regard, il m'empoigne, me caresse sans me parler, son baiser est salé, sa peau humide et fraîche, sa langue douce et chaude. On se croirait dans un rêve. Rien n'arrête ce type, il me prend et m'exfolie la foufoune, je goutte l'iode, le sexe et ça m'excite de plus en plus. Le paradis a un goût d'évasion, de défonce et d'alizés, et sans aucune retenue, je m'offre à lui, soumise et défoncée !