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Derrière le paravent, la belle Alexandra se prépare à donner le coup d'envoi à une torride expérience… Son partenaire n'a qu'à bien se tenir puisque la déesse est enflammée ! Ses petits tétons bien roses sont dressés au maximum, signe qu'elle sera inépuisable et déchaînée. Son caïd la déguste du regard, en sentant ses yeux à elle braqués sur sa longue queue qui commence à durcir. La voilà qui s'approche du membre convoité et dépose sa langue humide dessus, le lèche de bas en haut avec appétit. L'amant empoigne doucement les cheveux de sa déesse adorée et contrôle la cadence de sa fellation. Entre ses lèvres, elle sent le zob de son gars atteindre son plus haut niveau de raideur, ce qui ne manque pas de la faire perler davantage. Elle écarte les cuisses et le bel étalon blond s'immisce entre les deux, faisant glisser sa longue bite dans l'échancrure divine. Elle se laisse ramoner comme une lapine en gémissant de plus en plus fort, prenant chaque coup de bassin dans son cul comme un cadeau exquis…

Deux plaisanciers ont ancré leur voilier dans une crique qui n'est pas très fréquentée. Ca tombe bien car leur petite escapade sur cette mer d'huile et sous la chaleur des rayons du soleil les a échauffés et donné l'envie d'une partie de jambes en l'air en plein air. La cocotte est une sylphide avec des petits flotteurs aux tétons bruns qui pointent rien qu'à la pensée des lèvres chaudes de son pervers qui les tête avec douceur. Elle porte un mini bikini qu'elle s'empresse d'enlever dévoilant une petite vulve presque entièrement épilée. La marque du maillot contraste sur son corps bruni mais comme on dit : c'est comme le poulet, c'est le blanc le meilleur... ce qui n'échappe pas au bel amant qui s'attaque directement à ses mignons tétés tout blancs et qui s'occupe avec délice de sa moule étroite et brûlante. Elle jouit une première fois et s'agenouille pour engloutir la pine de son lascar qu'elle suce avec un plaisir non dissimulé. Penchée contre la rambarde, elle va recevoir sa grosse quille dans son étui serré et humide avant de prendre sur sa langue percée tout son foutre gluant.

Trois potes en vacances profitent de la piscine de leur villa de rêve par une belle journée ensoleillée. Deux d'entre eux se baignent pendant que le troisième larron flemmarde, allongé sur une chaise longue et se fait dorer la pilule. Les nageurs le rejoignent et lui prodiguent un massage des arpions et lui lèchent même les doigts de pieds, ce qui attise le désir le caïd, qui ne peut s'empêcher de fourrer sa main dans son caleçon de bain. Attiré par ce membre durcissant, le tatoué de la bande s'en approche pour lui faire une sucette délicieuse que seul un homo peut pratiquer. Excité par cette sucette, le dernier sort sa pine lui aussi, la fourre entre les panards du sucé et se branle dedans... Une divine branlette thaïlandaise complétée par le tailleur de pipe qui accompagne le mouvement en lui gobant généreusement le gland, comme s'il voulait aspirer toute la sève de cette tige longue et dure qui menace d'exploser à tout instant, surtout avec un orteil qui lui titille le cul… Un plaisir intense pour ce trio homo fétichiste des pieds…

Cette vidéo est toute en douceur, comme un champ de blé caressé par les vents. Nos deux salopes ont les poils de la couleur des blés, la chambre et les tapis sont dans l'harmonie tonale qui nous met en appétit. On a le goût de leur manger les derrières et les flotteurs, de leur planter une méga tige dans leur vagin mignon. C'est elles qui auront tous les plaisirs du déshabillage jusqu'à la petite bille qui leur tient lieu de clitoris. Du bout de ses obus lourds, de ses lèvres tendres, de ses gigots, l'une dira qu'elles sont toutes à sa compagne. Prend garde à toi, lui commandera cette dernière, dont les blondinettes mèches n'atteignent pas les rotoplos, si je t'aime, tu ne pourras plus t'échapper. Entre gigots emboîtées l'une dans l'autre, elles se donnent de grands frissons au contact des lèvres douces de leurs vulves et de leurs clitoris. Des heures durant elles se donnent du plaisir, explorant les replis de l'autre, caressant ses seins de la main et des lèvres tendres, goûtant la nymphe de leurs langues dardés et émollientes, il n'est pas de plaisir plus grand que de caresser le corps d'une meuf ouverte comme un beau brin de blé…

Nous entrons dans la chambre d'un joli couple qui en est à ses premiers ébats. La vulve en chaleur est jolie, une grande bouche de grands yeux, une dégaine qui laisse espérer de grands émois. Le copain est robuste, poilu, souple et plein d'initiative… Quand sa déesse est là, étendue, offerte, il attaque le premier, la couvrant de baisers, dévorant ses loches, la déshabillant pour tâter de sa foufe et goûter la fente pour la mettre en appétit. Jeune et entreprenante la succube ne se fait pas prier pour aspirer son membre viril, la pomper longuement, l'enduire de salive pour qu'elle lui glisse bien dans la chatte. À quatre pattes, elle prend toute la longueur du membre et, arc-boutée, elle pousse pour le prendre encore plus fort, plus creux. La déesse subit l'assaut avant de prendre l'avantage à califourchon sur son copain, guidant le mandrin à son rythme et dans la position qui lui plaît le plus. Le copain aime bien la prendre par la rondelle étendu de tout son long derrière elle. La foufoune en chaleur goûte cette position en connaisseuse. Elle craque la douleur que lui cause l'élargissement de son minou du cul. Pour les deux partenaires, la douleur se change en plaisir progressivement jusqu'à ce qu'ils atteignent le point de non retour. Se retirant alors, la racaille vient abondamment dans la bouche et sur le visage adoré de sa dulcinée.

La belle africaine dans toute sa splendeur ! Une magnifique beauté noire divinement sculptée, aux paupières maquillées de bleu dont la couleur est assortie à la pointe de ses longs cheveux noirs. Sa peau d'ébène lisse et soyeuse contraste avec pâleur de son partenaire au crane rasé, avec une immense créature mythologique tatouée sur son dos. Il explore de ses caresses sensuelles les rondeurs pulpeuses de son amante excitante, sa croupe charnue et ses rondeurs mammaires, dont il titille et aspire les pointes foncées et dures avant d'aller explorer de sa langue fouineuse sa foufoune délicieuse au goût subtil. A son tour de bénéficier des bienfaits de la bouche de sa maîtresse, qui le suce goulûment, aspire le gland en branlant la tige fermement. Elle se décide enfin à prendre cette verge de taille imposante dans les profondeurs de son intimité chaude et accueillante. Les allées et venue de cette pine turgescente qui vient s'engloutir au fond la fente imberbe de cette vénus en feu provoque un orgasme intense pour le couple interracial.

Alors qu'ils travaillent consciencieusement dans un labo, un garçon et une femme décident de s'offrir un petit moment de répit. Le caïd s'avance derrière la belle blonde sexy qui travaille avec lui et regarde son travail tout en posant ses mains sur ses épaules. Il n'en fallait pas plus pour que l'envie de coucher soit unanime. Immédiatement, la dame se retourne vers lui et l'embrasse à pleine bouche, la langue bien fouineuse. Le veinard pose alors ses mains sur sa généreuse poitrine, ferme et aguichante. La belle demoiselle remonte alors sa jupe et laisse voir ses dessous de dentelles au mec qui ne manque pas d'y poser quelques caresses qui vont vite rendre la bonasse folle d'envie de jouir. Le garçon caresse aussitôt cette séduisante poitrine aux mamelles rosées. C'est à ce moment que la naïve se penche pour baisser le pantalon de son étalon pour lui faire une super fellation et ce dernier devient dur comme du bois et prêt à défoncer la jolie chatte de la belle collègue. Il lui plante alors sa bite par derrière et fait de vigoureux mouvements de va-et-vient qui font gémir la belle femelle.

C'est l'hiver, dehors il prodigue froid. La bicoque est perdue en campagne. Notre homme, propriétaire, l'est déjà beaucoup moins, et va partager cette froide nuit d'hiver avec une dulcinée. Une femme parmi les plus belles, faite pour dominer l'amant. Sa peau suave prend toute sa dimension lorsqu'on y colle nos lèvres. La dulcinée va être gâtée devant la cheminée. Ses nibards sont sompteux, quoiqu'un peu petits mais s'harmonisant parfaitement avec le reste de son corps. Son cul est joufflu, prêt à donner de l'amour. Ce soir, elle va plus en prendre qu'en donner, et c'est entre ses deux fesses rebondies et suave que notre homme offrira tout son amour. Avant bien entendu quelques caresses orales pour ces affamées de sexe, ils iront tous deux baiser dans toutes les positions. La bite du molosse n'a pas besoin de trop forcer l'entrée de la foune soyeuse et humide pour vite se retrouver perdue à l'intérieur. Son ventre est chaud et humide. Elle sent la tige qui ne cesse de grandir entre ses jambes. La belle soupire fort, très fort, avant de rugir de tout son être. C'est sur son fessier rebondi que Monsieur offrira tout l'amour qu'il a pour Madame.

Ca n'est pas Halloween aujourd'hui pourtant une grand mère installée tranquillement sur une chaise en train de bouquiner à la plage, a la peur de sa vie en voyant arriver le grand faucheur masqué tout de noir vêtu. En fait c'est le livreur de lait qui, ayant flashé sur la veuve et n'osant pas lui dire, a trouvé ce subterfuge pour l'obliger à baiser avec lui. La mamie apeurée se voit donc obligé sous la contrainte de prendre dans sa bouche le zob du salop qui ne bande pas encore, mais la vieillarde commence à y prendre goût et elle redouble d'effort en lui gobant les boules goulûment. Après tout pourquoi ne pas en profiter alors elle se lâche, se déshabille et se met en levrette pour se faire défoncer son vieux minou poilu. Il y a tellement longtemps qu'elle n'a pas eu l'occasion de se faire baiser qu'elle jouit presque tout de suite. Mais elle n'en a pas assez et c'est elle maintenant qui mène la danse. Elle s'empale sur le phallus du gars et elle l'enfonce au plus profond de son vieil étui ce qui la fait hurler de plaisir. Un peu de sève ne peut pas lui faire de mal alors elle pipe la crème du gars, pas mécontent de sa plaisanterie.

Ce joli couple exhib est décidément trop pressé : quand ils ont envie de faire l'amour, impossible d'attendre le retour à la résidence. La voiture garée sur un parking, ils s'installent sur la banquette arrière, une caméra posée sur le tableau de bord pour ne rien perdre de la petite partie de jambes en l'air dont ils veulent nous faire profiter. La belle blondinette sexy déshabille son petit ami et ôte son tee shirt pour se faire titiller les tétines pointues de sa belle paire de nibards. Il enlève son short pour aussitôt enfouir sa langue dans sa petite chatte et la lécher fébrilement. A son tour, elle introduit son zob encore molle dans sa bouche, qui ne tarde pas à s'ériger sous les coups de langues habiles qui se perdent sur ses testicules et viennent chatouiller son anus, partie de l'anatomie masculine où les poufs s'attardent (trop) peu souvent. Aucunement gênés, plutôt excités même par le passage de voitures à proximité, il entre dans le vif du sujet en plantant sa queue maintenant dure sans sa foune humide et accueillante : les voilà en route pour l'orgasme…

Deux belles femmes plantureuses se prélassent au bar en sirotant un verre. Le propriétaire de la place les trouve si bandantes qu'il leur propose une petite partouze improvisée… Les deux créatures de rêve acceptent avec joie. Toujours prêtes à fourrer, ces deux-là. Même s'il faut souffrir un peu. L'une des deux blondasses se laisse d'abord ramoner le derrière par le caïd. La tension monte et l'amant devient plus insistant. Il allume une chandelle et ordonne à sa proie de s'agenouiller. Il lui fait éjecter la cire chaude sur les babas avant de lui flanquer la chandelle dans le trou de balle. Les deux poulettes sont déchaînées, excitées comme des pétasses. Elles s'étendent par terre et se masturbent énergiquement, pour se lubrifier comme il faut. Le mec se délecte de leurs obus gros comme des melons. Il fourre son mandrin dans la foufoune de l'une pendant que celle-ci pelote l'autre et lui caresse les loches. On peut dire qu'il est tombé sur deux clientes idéales…

Vous l'aurez compris : c'est ce qu'on appelle une paire de mamelles de niveau mondial ! Cette brunette d'une vingtaine d'année est en mini short dans sa salle de sport, ses longues chaussettes lui montant jusqu'aux genoux. Crevée, elle s'arrête et file dans les vestiaires pour se changer. Là-bas, le caïd de la salle a tendu son piège… Il l'attend de pied ferme et attrape son corps de pute dès qu'il la voit entrer. Il malaxe ses mégas seins et pétrit son cul moelleux, plongeant sa tête dedans pour faire éjecter la dame avec sa langue. La ténébreuse est plutôt réceptive à ce petit jeu et offre ses grosses doudounes au type pour qu'il enfile son membre dedans. Au milieu de ces seins prodigieux, le lascar hésite à gicler et à les recouvrir de jus immédiatement. Mais il a d'autres projets en tête… Il ne laissera pas sa cliente préférée partir avant de l'avoir démontée comme un sagouin dans les vestiaires, avoir pilonné dans toutes les positions sa petite vulve rasée qui n'attend que ça, puis craquer, enfin, sur le visage insolent de cette nymphomane.

On ne cesse de vanter les mérites de la médecine spécialisée. Voici une autre preuve de sa supériorité en matière de refoulement sexuel. Une vulve en chaleur blonde est invitée à passer au cabinet du spécialiste qui doit la débloquer. Séance de déshabillage en règle, la cliente peut garder ses bas et ses souliers par contre on enlève le slip. Le spécialiste prend les mesures d'usage, puis, devant la cliente docile, présente sa baguette comme si c'était tout à fait naturel après qu'elle eut elle même dévoilé sa paire de rotoplos menue et écarté ses gigots sur une foufe rasée et un petit trou du cul bien sombre mais tout à fait attirant. La foufoune en chaleur se découvre un intérêt pour ce corps étranger et c'est avec attention qu'elle en découvre les qualités érectiles. Poursuivant son examen, le spécialiste enfonce ses doigts pour juger de l'état de la moule de sa cliente. Tout est en ordre, elle peut le recevoir par devant comme par derrière. Elle s'empale sur la baguette du type et s'agite, c'est par le cul d'enfer qu'elle veut être prise par ce pénis de la région étrangère. Il y pénètre facilement et va et vient au grand plaisir de la cliente qui est beaucoup moins atteinte qu'on ne le croyait au début. Quelques allées et venues dans cet étroit couloir produisent leurs effets et c'est une bonne crème vitaminée qu'elle rapportera sur les arrières-trains, en souhaitant que ce soit suffisant pour sa cure!

Après une dure journée de taf, ce commercial encore vêtu de son costume cravate se couche confortablement sur son lit muni de son netbook. Il est rejoint par son beau mari, un caïd d'une vingtaine d'année qui s'appuie aisément au creux de son épaule. L'amant presque nu, portant juste un slip de couleur blanche, lèche les lèvres de son ami à qui il a manqué depuis qu'ils se sont quittés tôt ce matin. Le vicieux dégrafe le jean de son ami, saisit son zob, le décalotte avant de le sucer goulûment puis le déshabille en le tripotant et s'empresse de reprendre sa queue bandante dans sa bouche et lui prodigue une gâterie qui le met dans tous ses états. Il n'en peut plus, il se positionne du coté facile et profonde le fion de son ami, excité par son petit cul il enchaîne les coups de reins, leurs corps se cambrent, leurs visages s'expriment, un moment à quatre pattes tout cela dans un tapage érotique, ils reviennent à leur position initiale pour jouir ensemble, confortablement installé, il déverse son jus chaud dans les entrailles de son époux qui lui s'est branlé tout au long de cette scène d'amour torride, déverse sa semence sur son nombril.

Pour vivre à deux gai il faut être en forme. Quand les individus se retrouvent à la bicoque après le turbin, il n'est pas rare qu'ils se mettent au plumard, façon de parler, avant de dîner. On se prépare pour le bain et on se retrouve le nez dans le slip de l'autre. On a faim et on se retrouve avec un bien étrange salami entre les dents. On a le ventre vide et la minute d'après on a le popotin rempli. Pas le temps de mettre l'air sur la chaîne, on l'a dans les miches l'ambiance, ça chauffe mais c'est pas du ragoût. Nos deux mecs sont passés maîtres dans la technique du décapsulage de bout, du dégraissage de salami et de l'épluchage de poireau. Malgré ça, ils sont toujours affamés. À tour de rôle ils se mijotent l'oignon, le cuisinent en profiondeur, s'encastrent dans le four. Homme sweet homme, comme on est bien dans les bras d'un mec. Mais y'a pas qu'ça et pour conclure la première partie sans rester sur son envie, ils se barbouillent la face à le nectar de miel. C'est bien connu, c'est plein de vitamines et c'est ainsi qu'ils refont le plein pour une nouvelle partie.

Pour qui aime les formes rondes et la chair abondante, Edith est une affaire. Perpétuellement chaude, elle a les hormones à fleur de peau. Il lui suffit d'un lascar bien taillé pour qu'elle écarte les cuisses et se livre au chibre du type. Ses gros flotteurs les excitent tous. Sa bouche experte est une pompe à vide, l'espace entre ses loches, un fourreau où se glisse confortablement une tige, son vagin, plus étroit qu'il n'y paraît, un cratère profond et lisse gardé humide par un taux d'hormones élevé. Edith est tendre et douce, attentionnée et affamée. Elle est partante pour tout ce qu'on veut du moment qu'on s'occupe d'elle. Sa peau sent bon la savonnette, elle est douce, sans aspérités, toute en rondeurs et logeable. Flexible, elle prodigue tout ce qu'il faut pour faciliter l'accès au membre. Le veinard s'y glisse et la corpulente chatte en chaleur s'emballe. Plus qu'aucune autre elle ressent les mouvements au fond d'elle et exprime ses sensations par des cris et des soubresauts qui ne laissent aucun doute sur ses effets. Il n'est pas nécessaire de déployer l'artillerie lourde avec elle. Sa caverne se liquéfie en quelques coups de membre véril et elle vous achève à la pompe, savourant jusqu'à la dernière goutte de crème.

Ce ménage est épris de changement. Leurs séances de baise ne sont jamais ennuyeuses et celle-ci s'annonce encore meilleure. Aujourd'hui, la cocotte sera l'esclave soumise des rêves de son caïd. Après l'avoir déshabillée, il lui a attaché les mains, un tablier, lui a mis un collier de chien autour du cou et a enroulé autour de ses gros loches des chaînes dont les aspérités irritent la peau fragile de la belle. Avec un petit couteau acéré, il s'amuse à lui infliger de petites blessures qui l'échauffent, lui aussi bien qu'elle. Ayant trouvé de quoi lui attacher les bras au plafond, il s'est ensuite amusé à lui chatouiller l'aisselle avec les feuilles d'un arbrisseau qu'il a emmené exprès. Les yeux bandés, elle doit subir les pinces qui lui blessent les obus. Il les lui arrache ensuite à coup de cravache. Ouch! Il lui ceint ensuite les enjoliveurs d'une corde qui lui font deux mamelles turgescentes. Il lui inflige une fessée, des pincements, diverses humiliations au moyen du slip qu'il a plongé dans sa foune avant de lui mettre dans la bouche. Puis il l'enduit de cire chaude sur les arrières-trains et les nichons dont il se sert comme d'une pelote à épingles avant de plonger sa main profondément dans sa foufoune. Ayant accompli les gestes qu'il pourrait qualifier de préliminaires, il quitte le salon où il ne reviendra qu'après s'être un peu remis de ses émotions.

Ce n'est pas souvent que l'on rencontre des nanas aussi jeunes, 18 ans, et aussi sexuelles. Cette gonzesse est en train de manger sa sucette quand son pote black, le mieux membré du quartier, arrive. Il connaît son goût pour la baise de haut vol et la ramène dans sa chambre. Là, bien sûr, il n'est pas tout seul mais appelé un pote, black lui aussi, et surtout suréquipé lui aussi. La poule a déjà la foufoune qui tremble avant de prendre ces deux troncs d'arbre dans ses mains, puis dans sa petite bouche juteuse. Elle a toutefois un peu peur de faire passer d'aussi gros pylônes dans son trou mais ne s'arrête pas à ce genre de détail. Quand la première queue pénètre sa moule lisse, elle pousse un cri de soulagement et de stupéfaction. Les limées interminables de ce gros pieu lui font complètement perdre le nord, si bien qu'elle est sur le point de évacuer lorsque le deuxième type arrive. Il lui offre la meilleure levrette de sa vie tandis que cette bonasse se remet à sucer le gros dard de son copain. Sa chatte est maintenant habituée à ces trompes massives, et ne demande même plus que ça.

Voici deux farfelus qui n'ont pas la libido tranquille. En même temps, il faut bien s'occuper dans un musée lorsque l'art encadré nous excite moins que l'art d'empaler. Le garçon à la chemise noire a su trouver un recoin rêvé pour se cacher de son petit ami. Il lui envoie quelques soupirs explicites et suffisamment audibles pour se faire tracer. Son ami se laisse surprendre au détour d'un virage, il sent sur ses yeux les mains chaudes et pleines, même un peu moites, de son compagnon. Se retrouver pommé au fond d'un musée, loin de la foule est une invitation à la coucherie. L'un deux prend les devants, et très vite la bouche du futur enculé se retrouve bouchée. Le message bucco-génital est limpide et annonce la couleur. Une sucette phénoménale se déroule devant vos yeux comme si vous y étiez ! Voici pour votre plus grand plaisir un adepte de grosses bites à se mettre sous la dent, une gorge profonde à la langue joyeuse, un véritable avaloir de service ! Cette démonstration de soumission ne laissera pas de marbre son partenaire qui lui administrera une défonce qui va le laisser sur le carreau ! Une déferlante de coups de zob, allant au plus profond de ses entrailles au grand plaisir de la victime. Exténué, le gars s'abandonnera sur le torse baraqué de son partenaire. La sève brûlante coulant entre ses deux pectoraux luisants.

Si vous n'avez pas vu les pyramides d'Égypte ou la Grande muraille de Chine, regardez au moins le derrière sensationnel de Brianna Love, une fille créée pour nous flanquer les pires érections de notre vie. Son derrière galbé et moelleux, élastique et jouissif à l'extrême va vous pousser littéralement au vice ! Le molosse qui doit s'occuper d'elle devient dingue sur ce pétard innommable, il le pétrit dans tous les sens, le claque, le malaxe, et bande déjà comme un taureau en rut. Il flanque son zgeg dans la bouche soyeuse de Brianna, qui n'est pas la dernière des fellatrices, puis le pousse toujours plus loin dans sa gorge pour se mettre en appétit. La belle se relève et, avec un sourire complice, se met à quatre pattes pour offrir sa croupe fabuleuse à son amant. Le gars pénètre cette belle foune rose au milieu de ces fesses qui ne demandent qu'à rebondir. Brianna n'y échappera pas : son pétard va passer par toutes les étapes de la baise de haute-voltige, et ce n'est que l'arrière-train complètement souillé de sperme qu'elle pourra repartir.