Recherches "fac" : Scènes avec les meilleures notes - 1555 scènes trouvées

Et vlan ! Prenez-vous ça ! Bombasse blonde en tenue de pute, au regard de feu, et à l'apparence époustouflant. Elle grimpe les escaliers qui la séparent de nous, avec son haut à mailles noires qui emprisonne ses colossales nibards. Seins en silicone, cul galbé, chatte d'une chaleur intense… Il ne manque pas grand chose au tableau. Un méga mec pour la sauter, peut-être… Mais il arrive, plus en forme que jamais. Cette pouf a les pattes écartées et la fente ouverte quand elle voit le veinard entrer. Il se rue dans son entrejambe et lui enfonce ses doigts vicieux, bestialement, en la faisant couiner de douleur. Mais notre pétasse en a vu d'autres. Elle se met sur ses genoux et s'empale la gorge sur le gros chibre du type, qui attrape sa chevelure blonde pour lui prendre la bouche encore plus fort. Lorsqu'elle vient s'asseoir sur son gros gourdin, la poupée pousse un cri de stupéfaction. Cette queue lui entre tout droit dans le ventre ! Le type admire la plastique hors norme de cette pute et devient ce qu'il a toujours voulu être : un animal sauvage !

Vous ne pourrez pas la regarder longtemps sans avoir la tête qui tourne. Surtout lorsqu'elle déambule dans les escaliers en se trémoussant comme une gonzesse. Elle descend vers nous, dans son petit ensemble surbandant, et s'astique la moule à deux doigts de l'objectif. Ses longs cheveux noirs lui caressent les reins ; son porte-jarretelles emprisonne ses cuisses de tigresse… En bas de l'escalier, c'est un morceau de choix qui l'attend, une tige de chair qui regarde déjà le ciel quand la belle fait son entrée. Elle s'agenouille docilement devant ce joujou et le pompe avec toute son application, l'aspirant voluptueusement jusqu'à sa glotte et le ressortant trempé… Un endroit qui commence à être trempé est son minou. Sérieusement trempé, même. Lorsque le veinard y enfonce son manche, il le sent s'introduire dans un marécage brûlant, qui s'ouvre devant son gland… Une vraie grotte de conte de fée ! Les cris de la bonasse ne font que repousser les limites de notre mec, qui la harponne comme un timbré et finit par se ruer dans son fion. Il pilonne les fesses de la brunette de rêve et s'offre le plaisir incontournable : jouir toute la face de cette poupée.

Quand on a une salle spécialement conçue, du matériel et une splendide femme soumise rien que pour soi, on peut se laisser aller pendant des heures. Deux nanas, une maîtresse et son esclave, nous offrent une séance qui ne laissera personne de marbre. La blondasse a la face recouverte d'un masque à gaz et doit ramper devant sa maîtresse, qui frappe son beau cul à grands coups de cravache. Cette paire de fesses l'excite tellement qu'elle la torture sous tous les angles, allongé, debout, et la fait rougir comme une tomate. Accrochée à sa croix en bois, l'esclave est encore plus bandante. Son soutien-gorge en cuir peine à retenir ses flotteurs, qui se font attraper et pincer par la maîtresse. Le cliquetis des chaînes nous plonge dans un envoûtement sensuel au possible, accompagné des petits gémissements de l'esclave sous son masque. Son pétard parfait reçoit des fessées de plus appuyées, et chaque claquement lui envoie des décharges électriques dans tout le corps. Soumise aux tortures de sa maîtresse, elle donne entièrement sa plastique de rêve et sent le plaisir érotique l'envahir brusquement…

Quelle garce ! Non mais quelle garce ! Tout dans cette cocotte est indécent, outrancier : c'est une invitation vivante à la défonce ! Elle est brune comme la nuit, avec de gros flotteurs bombés aux tétons provocateurs, un trou du cul charnu, des hanches faites pour être attrapées quand on la tringle en levrette… Que du bonheur ! Immédiatement, elle commence par pervertir un gars, qui l'attrape, fourre sa gueule entre les jambes brûlantes de cette bonasse et la fait jouir de toute sa langue. Il flanque la brunette à genoux et lui perfore la gorge en exigeant qu'elle continue à le regarder dans les yeux, la bouche ouverte. Une fois complètement excité, il se met à défoncer cette chaudière plus fort que jamais, la fait hurler, mais sent bientôt que son énorme phallus ne lui suffit plus… Il lui faut de l'aide, et vite ! Un deuxième type arrive comme par magie, et se plante dans l'oignon de la dame, qui se dilate immédiatement et encaisse une double-pénétration féroce ! Bourlinguée de tous les côtés, pile et face, la ténébreuse aux formes de chienne ne comprend plus ce qui lui arrive. Elle ne sent qu'une grosse rivière de crème qui s'échappe de sa fente pour vider le long de son popotin…

Un couple hétéro reçoit une amie d'enfance de sa femme avec dans l'idée, au cours de la soirée de pouvoir se la faire en profondeur ! Tandis que les deux copines se remémorent leurs souvenirs en feuilletant leur album photo, la maîtresse de maison visiblement attirée par sa camarade va en profiter pour la faire succomber à son désir de sexe. La sentant encline à se laisser tripoter un peu partout, elle va lui ôter son top à bretelles et découvrir sa paire de mamelles ronde et moelleuse. Puis elle va pousser le vice à se positionner entre ses jambes et lui bouffer le clito, en tout bien tout honneur. Devant ce spectacle des plus bandants, l'amant va s'immiscer entre elles et leur tendre sa queue au garde à vous pour se la faire pomper par les deux gourmandes avant de se les enfiler tour à tour. Sans modération aucune, le trio va enchainer les pénétrations vaginales et broutes-minous à toute berzingue jusqu'à ce que, n'y tenant plus, le gaillard se évacue de son nectar sur le facies de la belle invitée.

C'est une sublime nana que nous vous présentons. Un trésor sculpté à la perfection pour faire naître chez nous des pulsions dévastatrices. On ne peut qu'avoir les yeux lubriques en regardant cette sirène blonde, plus salope que la pire des salopes, avec ses petits tétons somptueux et sa grosse bouche. Le caméraman s'approche d'elle et lui tend son zgeg, qui se fait happer comme dans un aspirateur. Les lèvres charnues de cette pouf savent rendre un zob complètement folle, et l'enfoncent au fond de son gosier de chienne en y laissant de longs filets de salive… Le gars ne tient plus (il n'a jamais vraiment tenu, de toute façon) : le voilà en train d'empaler la jolie croupe de cette succube au bout de sa tige, de la faire danser comme un serpent… Puis il la prend, à plein régime, sentant son membre viril s'enfoncer péniblement entre les deux cuisses musclées de la fille. Avant de craquer, pour de bon, et de demander à cette dévergondée de se mettre à genoux devant lui pour arroser son visage de garce de toute sa sève !

Deux gars se font briefer avant le tournage d'une petite vidéo qu'ils veulent s'offrir, une petite gâterie pour pimenter leur relation. Le réalisateur et caméraman est un troisième lascar qui se rince l'œil pendant tout le tournage. La première séquence, celle de la séduction, montre les garçons face à face, occupés à se déshabiller des yeux avant de passer aux gestes. Des que les pantalons sont tombés, le groin du premier découvre l'objet de son désir et engouffre le zgeg de son pervers, la suce, la déguste et la suce. Les rôles s'inversent ensuite, d'abord debout puis sur le plumard. Notre ami aborde le fion, l'oignon de son partenaire évaluant avec qu'elle force il faudra appliquer à son manche pour défoncer le rectum du mâle. Sous le gros œil de le kodak il va prendre la pose pour offrir le meilleur point de vue à la postériorité. Tout se déroule parfaitement et si bien que les deux en oublient le kodak sans perdre de vue la profondeur du sujet. Les yeux dans les yeux ils terminent la scène par une giclée bien chaude.

Assise nonchalamment sur sa chaise, cette séduisante meuf souriante en lingerie fine roses hyper sexy me regarde du coin de l'œil. Une main posée sur sa paire de rotoplos, la pouf effleure sensuellement ses obus au travers de son soutien-gorge. Ne la trouvez-vous pas craquante tandis qu'elle commence à se déhancher de manière suggestive en face de moi ? Otant un à un ses froufrous affriolants, je découvre avec un plaisir non dissimulé ses petits enjoliveurs ravissants et son entrecuisse lisse. Un régal pour les yeux ! C'est qu'elle sait s'y prendre la succube pour vous foutre la trique au garde à vous ! Voyant mon émoi poindre dans mon pantalon, l'aguicheuse s'agenouille à bonne hauteur et tout en me dévisageant me le déboutonne pour aller chercher mon chibre et le pomper. La pipe ayant eu l'effet escompté et ma bite bandée à l'extrême, la bonasse se renverse jambes en l'air et m'invite à m'occuper de son minou. Devant une telle offrande, je n'hésite pas et de mes doigts agiles me mets à la doigter sans ménagement pour la préparer au coït. Enfin prête à la pénétration, la beauté haletante prend appui sur la table basse, le postérieur en buse pour se faire prendre en levrette. Bite en main, je me hâte de satisfaire son désir et la plonge recta dans son antre chaude et moite sans difficulté. Excité par ses couinements de plaisir, je ne vais pas me priver pour lui labourer la foufe. Cet intense ramonage ayant affolé mes sens à l'extrême et me sentant sur le point de craquer, je m'extrais et me positionne face à elle pour éclater et lui cracher ma purée au visage. Gourmande, elle va clore notre partie de jambes en l'air en chopant mon membre et le porter à sa bouche pour le lécher et récupérer mon sperme jusqu'à la dernière goutte.

Qu'a-t-elle fait de mal ? Sûrement plein de choses, ce n'est pas ça l'important… L'important c'est que cette sublime gonzesse brune raffole de la fessée. Son pétard est de toute façon taillé pour. Il est parfait, rebondi, bandant, tout ce que vous voudrez ! Moulé à fond dans un pantalon blanc du plus bel effet, il n'en est que plus excitant. Son époux est bien décidé à la punir d'être aussi bonne. Il l'allonge sur lui et lui flanque de grosses fessées sur l'arrière-train, qu'il sent rebondir comme par magie sous ses doigts. Il baisse ce futal de salope puis continue de cravacher ce pétard indécent, qui est maintenant rouge comme une tomate ! Son zob ne tient déjà plus dans son pantalon tant les petits cris de douleur de sa garce de femme le rendent fou. Il retourne la brune et pénètre sa fente, admirant la rougeur éclatante de ce cul, ainsi que sa cambrure qui lui donne envie de toujours plus buriner. Assis sur le canapé, il regarde sa pine aller et venir dans l'abricot soyeux de sa femme, puis voit son sperme décharger comme par magie entre ses deux fesses écarlates…

Equipée d'un corset de cuir noir et d'une paire de bottines montantes, une divine esclave masochiste s'impatiente seule sur un lit, jambe écart et sans culotte. Sa vulve est une invitation à la coucherie. Elle se pelote, en regardant fixement dans les yeux son maître installé sur le fauteuil d'en face, et attendant ses ordres. La belle se tortille d'impatience et souffre de ne pas se faire encore maltraiter. Le maître, entièrement habillé d'une combinaison de cuir intégrale, s'approche lentement de sa proie, fouet à la main. D'une main tranquille, il écarte sa foufoune percée. La belle halète comme une chienne. Il la ligote sur l'armature du lit et s'occupe de sa merveilleuse poitrine. La poulette s'excite d'impatience. Mais il tarde volontairement à la maltraiter, ce qui fait davantage son effet. D'un mouvement habile, il caresse sa foune avec l'extrémité du fouet, instrument de torture par excellence. Sa moule coule à flot, ses muscles se contractent et sa respiration s'accélère. La chienne tend alors ses fesses gourmandes pour se faire toucher plus profondément. Entre ses jambes humides, elle se fera introduire un double godemiché de latex noir, avant de se retrouver gisant sur le lit, dans une nouvelle et interminable attente…

Voici une nouvelle venue dans le monde du cul. Une beauté brune fine comme une allumette qui vient de fêter ses 19 ans. Trop curieuse, elle a décidé d'accepter nos propositions et de rencontrer notre gaillard devant l'objectif. Elle arrive avec son petit débardeur jaune innocent et g-string qui embrasse à merveille son pétard étroit. Ses loches sont comme deux pommes toutes dures et acides ; ses couettes de salope sont une invitation vivante à tirer dessus. Par où commencer ? On se le demande ! Pourquoi ne pas lui enfiler d'abord un doigt, histoire de vérifier l'étroitesse de cette belle foufoune complètement épilée ? Le doigt du bonhomme s'enfonce difficilement mais sent bientôt la mouille abonder pour lui faciliter la tâche. Le gars peut enfin se glisser sous la succube et l'empaler au bout de sa grosse flèche dressée. Il s'enfonce doucement dans cette chatte qui résiste un peu, puis s'abandonne complètement à ses coups de membre véril. Notre débutante se lâche enfin, retrouve ses pires instincts et se laisse aller à jouir sans relâche sous ces gros coups de tonnerre…

Mademoiselle passe des heures au téléphone, mademoiselle fait sa paresseuse sur le sofa, mademoiselle ne veut pas faire ses devoirs et mademoiselle est insolente. C'en est trop ! Le garçon de sa mère est furax et bien décidé à corriger cette poule ! La pouf est nonchalamment allongée sur le sofa au moment où le pervers furibond rapplique. Face à son air abattu mais tellement sexy, une idée malsaine lui vient : il se ferait bien cette blondasse ! Il la somme alors de lécher le bout de sa bite. La succube, joueuse, lui gobe littéralement. En réalité, elle pompe comme une chienne ! Comprenant la sentence qui l'attend, elle grimpe sur le sofa à quatre pattes pour qu'il lui retire sa culotte... La pétasse sent les coups de langue charnue sur les rides de son anus et de sa foufoune. Elle adore ça. Lubrifiée en abondance, le vieux pervers, pieu en main, s'enfonce dans cette chatte inondée à presque s'y noyer. Même sentence pour son anus ! La dame ne considère pas cela comme une sanction et en redemande tellement, que la racaille, à bout, se résigne à abandonner et crache sa crème au fond de sa petite gueule !

Tandis qu'un apprenti découvre le matériel de clown, son enseignant sort de sa cachette, le sourire aux lèvres. Celui-ci a des idées derrière la tête et une imagination débordante ! Cette fois ci, il aura même l'esprit tordu ! Le regard tendre, il s'approche de son élève et l'embrasse doucement. Tout d'abord surpris, l'apprenti se laisse aller, partager entre la peur de l'inconnu et une attirance nouvelle… Le maître le dénude habilement. L'élève ne dit mot face à tant de maitrise et d'attention et souhaite se laisser contrôler par ces mains fermes. L'enseignant est bien gaulé, ses muscles sont saillants et ses mains fermes. Il agrippe fermement mais adroitement le zgeg de son élève et le suce avec vigueur ! Le jeune entrouvre sa bouche et se laisse gober le zob par ce gosier bouillant. Tout va alors très vite ! L'amant empale son maître timidement au début mais très vite violemment, ramonant son cul par vas-et-viens incessants. Et lorsque son tour vient, son cul se dilate très vite au contact du gland de son maitre. Impuissant, il se laisse envahir au plus profond de son cul et découvre les sensations de la défonce anale…

Voilà que le terme «femme enveloppée» prend un nouveau sens. Recouverte de pellicule plastique et respirant au moyen d'un tuyau inséré dans sa bouche, cette cocotte est une proie facile pour les gars qui sont dans la pièce, nus et bandés comme des étalons. Cette proie, belle et vulnérable, ne sait pas trop ce qui l'attend car ces hommes excités sont prêts à tout pour se payer du bon temps et réaliser leur fantasme d'avoir le contrôle total sur une femme soumise à eux et incapables de bouger comme elle le souhaiterait. Ils commencent donc par s'approcher d'elle pour la caresser et palper ses formes délicieusement bien moulées. Puis, rapidement, ils commencent à créer certains accès aux parties génitales de cette dame en déchirant la pellicule pour pouvoir lui titiller la foune. Puis, le tuyau respiratoire a tôt fait de laisser sa place à un énorme membre véril qui s'enfonce généreusement dans le gosier de cette prisonnière qui jouit sans pouvoir se défendre. À tour de rôle ils mettent leur queue dans cette chatte ferme et humide et défonce alors la jeune blonde qui ne sait trop si elle doit jouir ou crier de douleur.

C'est la liesse dans les vestiaires où règne une chaleur masculine presque animale après la victoire de cette équipe de foot amateur. Mais c'est quand ils se retrouvent à trois que les festivités érotiques commencent sérieusement. Sans même prendre le temps de se doucher, nos trois footballeurs gays se congratulent de la meilleure façon possible....la partouse. L'odeur suave chargée de phéromones qu'ils dégagent affole leur sens et ils bandent en cœur. Ils s'embrassent, se font gonfler l'andouille, se lèchent le gland à tour de rôle, se bouffent le troufignon, s'enculent à le zgeg leu leu. Leur envie n'a pas de limite et ils continuent leurs ébats torrides et bien mérités, pendant qu'un pénètre le fion, l'oignon de l'autre, celui-ci suce son comparse. C'est une farandole de positions acrobatiques et chacun s'occupe de le zob de l'autre avec avidité jusqu'au feu d'artifice final où ils vont éclater de concert et évacuer leur semence dans les coquilles en plastique qui ne protègent plus rien.

On ne cesse de vanter les mérites de la médecine spécialisée. Voici une autre preuve de sa supériorité en matière de refoulement sexuel. Une vulve en chaleur blonde est invitée à passer au cabinet du spécialiste qui doit la débloquer. Séance de déshabillage en règle, la cliente peut garder ses bas et ses souliers par contre on enlève le slip. Le spécialiste prend les mesures d'usage, puis, devant la cliente docile, présente sa baguette comme si c'était tout à fait naturel après qu'elle eut elle même dévoilé sa paire de rotoplos menue et écarté ses gigots sur une foufe rasée et un petit trou du cul bien sombre mais tout à fait attirant. La foufoune en chaleur se découvre un intérêt pour ce corps étranger et c'est avec attention qu'elle en découvre les qualités érectiles. Poursuivant son examen, le spécialiste enfonce ses doigts pour juger de l'état de la moule de sa cliente. Tout est en ordre, elle peut le recevoir par devant comme par derrière. Elle s'empale sur la baguette du type et s'agite, c'est par le cul d'enfer qu'elle veut être prise par ce pénis de la région étrangère. Il y pénètre facilement et va et vient au grand plaisir de la cliente qui est beaucoup moins atteinte qu'on ne le croyait au début. Quelques allées et venues dans cet étroit couloir produisent leurs effets et c'est une bonne crème vitaminée qu'elle rapportera sur les arrières-trains, en souhaitant que ce soit suffisant pour sa cure!

Après une dure journée de taf, ce commercial encore vêtu de son costume cravate se couche confortablement sur son lit muni de son netbook. Il est rejoint par son beau mari, un caïd d'une vingtaine d'année qui s'appuie aisément au creux de son épaule. L'amant presque nu, portant juste un slip de couleur blanche, lèche les lèvres de son ami à qui il a manqué depuis qu'ils se sont quittés tôt ce matin. Le vicieux dégrafe le jean de son ami, saisit son zob, le décalotte avant de le sucer goulûment puis le déshabille en le tripotant et s'empresse de reprendre sa queue bandante dans sa bouche et lui prodigue une gâterie qui le met dans tous ses états. Il n'en peut plus, il se positionne du coté facile et profonde le fion de son ami, excité par son petit cul il enchaîne les coups de reins, leurs corps se cambrent, leurs visages s'expriment, un moment à quatre pattes tout cela dans un tapage érotique, ils reviennent à leur position initiale pour jouir ensemble, confortablement installé, il déverse son jus chaud dans les entrailles de son époux qui lui s'est branlé tout au long de cette scène d'amour torride, déverse sa semence sur son nombril.

Pour vivre à deux gai il faut être en forme. Quand les individus se retrouvent à la bicoque après le turbin, il n'est pas rare qu'ils se mettent au plumard, façon de parler, avant de dîner. On se prépare pour le bain et on se retrouve le nez dans le slip de l'autre. On a faim et on se retrouve avec un bien étrange salami entre les dents. On a le ventre vide et la minute d'après on a le popotin rempli. Pas le temps de mettre l'air sur la chaîne, on l'a dans les miches l'ambiance, ça chauffe mais c'est pas du ragoût. Nos deux mecs sont passés maîtres dans la technique du décapsulage de bout, du dégraissage de salami et de l'épluchage de poireau. Malgré ça, ils sont toujours affamés. À tour de rôle ils se mijotent l'oignon, le cuisinent en profiondeur, s'encastrent dans le four. Homme sweet homme, comme on est bien dans les bras d'un mec. Mais y'a pas qu'ça et pour conclure la première partie sans rester sur son envie, ils se barbouillent la face à le nectar de miel. C'est bien connu, c'est plein de vitamines et c'est ainsi qu'ils refont le plein pour une nouvelle partie.

Pour qui aime les formes rondes et la chair abondante, Edith est une affaire. Perpétuellement chaude, elle a les hormones à fleur de peau. Il lui suffit d'un lascar bien taillé pour qu'elle écarte les cuisses et se livre au chibre du type. Ses gros flotteurs les excitent tous. Sa bouche experte est une pompe à vide, l'espace entre ses loches, un fourreau où se glisse confortablement une tige, son vagin, plus étroit qu'il n'y paraît, un cratère profond et lisse gardé humide par un taux d'hormones élevé. Edith est tendre et douce, attentionnée et affamée. Elle est partante pour tout ce qu'on veut du moment qu'on s'occupe d'elle. Sa peau sent bon la savonnette, elle est douce, sans aspérités, toute en rondeurs et logeable. Flexible, elle prodigue tout ce qu'il faut pour faciliter l'accès au membre. Le veinard s'y glisse et la corpulente chatte en chaleur s'emballe. Plus qu'aucune autre elle ressent les mouvements au fond d'elle et exprime ses sensations par des cris et des soubresauts qui ne laissent aucun doute sur ses effets. Il n'est pas nécessaire de déployer l'artillerie lourde avec elle. Sa caverne se liquéfie en quelques coups de membre véril et elle vous achève à la pompe, savourant jusqu'à la dernière goutte de crème.

Ce n'est pas souvent que l'on rencontre des nanas aussi jeunes, 18 ans, et aussi sexuelles. Cette gonzesse est en train de manger sa sucette quand son pote black, le mieux membré du quartier, arrive. Il connaît son goût pour la baise de haut vol et la ramène dans sa chambre. Là, bien sûr, il n'est pas tout seul mais appelé un pote, black lui aussi, et surtout suréquipé lui aussi. La poule a déjà la foufoune qui tremble avant de prendre ces deux troncs d'arbre dans ses mains, puis dans sa petite bouche juteuse. Elle a toutefois un peu peur de faire passer d'aussi gros pylônes dans son trou mais ne s'arrête pas à ce genre de détail. Quand la première queue pénètre sa moule lisse, elle pousse un cri de soulagement et de stupéfaction. Les limées interminables de ce gros pieu lui font complètement perdre le nord, si bien qu'elle est sur le point de évacuer lorsque le deuxième type arrive. Il lui offre la meilleure levrette de sa vie tandis que cette bonasse se remet à sucer le gros dard de son copain. Sa chatte est maintenant habituée à ces trompes massives, et ne demande même plus que ça.