Recherches "Main" : Scènes avec les meilleures notes - 2871 scènes trouvées

Nonchalamment affalée sur le canapé, ses jambes entrouvertes qui ravirait les voyeurs de petites culottes, ce joli brin de femme regarde la télévision au lieu de potasser. Elle vit chez l'ami de son père, pour finir ses études de droit. Elle est surprise dans cette position par son hôte furieux qui la menace de la renvoyer. Elle boude... Conscient d'avoir peut être été un peu sévère, il s'assied près d'elle, passe son bras sur son épaule et l'étreint pour la consoler. Cette cajolerie inopinée lui procure un sentiment de surexcitation, émoustillé par les rondeurs sensuelles de la cocotte qui bien que majeure, reste bien plus jeune que lui. Il se risque sous son tee shirt, elle ne dit mot, il soupèse ses beaux flotteurs, ronds et fermes à la fois, l'embrasse tendrement sa main descendant vers son entre jambe et glissant sous sa culotte rose. La belle n'est pas farouche et se laisse aller aux désirs concupiscents du cinquantenaire débordant d'envie devant un corps débutant si beau, avide de découvertes sexuelles et à la fois expert dans l'art de donner du plaisir aux hommes et les faire éjecter…

Alors qu'elle se trouve à la cuisine, une innocente gonzesse se cache derrière un immense canard en peluche pour se faire de petites caresses discrètes. Derrière cette grosse boule de poil, la cocotte se caresse le clito timidement sans savoir qu'elle est captée par l'oeil d'une caméra cachée. La chaudasse se masturbe lentement sans faire de bruit et se fait plein de scénarios dans sa tête en se caressant aussi les obus. Elle se glisse la main dans le pull pour sentir ses petits enjoliveurs se durcir de plaisir. Puis, elle sort son outil par excellence, une pine en latex et alors qu'elle s'apprête à se le glisser dans la moule, elle est surprise par un copain qui saisit immédiatement l'occasion pour lui offrir, une vraie queue. Le mec sort alors son mandrin droite et de bonne taille pour la porter à la bouche de la belle blonde, déjà agenouillée et prête à sucer. Après quelques instants, seulement, les deux compagnons se retoruvent sur le divan en cuir du salon, complètement dévêtue et montés l'un sur l'autre pour une baise intense.

Alors qu'elles montent la garde devant l'entrée d'un bâtiment militaire, deux femmes soldats doivent subir l'inspection du commandant. Celui-ci leur demande de remonter leurs t-shirt afin qu'ils puisse juger de la beauté de leurs nichons. Les cocottes s'exécutent sans broncher. Il les convoque ensuite à son bureau où il aura l'occasion de faire une inspection plus profonde. Les poules doivent se dénuder et montrer leurs beaux petits culs au chef qui prend un grand plaisir à les regarder tout en les forçant à se faire mutuellement quelques sévices. Les poufs s'exécutent encore une fois devant l'autorité de l'amant qui en redemande toujours plus. Les voilà maintenant couvertes de pinces à linge qui sont destinées à stimuler leurs mamelons et leurs clitoris. Les dames endurent la douleur puis se font également attacher les boobs avec de la corde, ce qui a pour effet de les gorger de sang et augmenter leur sensibilité. Elles vont alors devoir sucer le membre viril gonflée à bloc du commandant et subir ses fantasmes pendant de longs moments. Dommage pour les demoiselles, mais tous ces traitements ne sont que le commencement...

Allongés sur un lit, ces deux adorables minets prennent la pose, souriants, justes vêtus de leur slip blanc, exhibant leurs corps de canons. Ils se rapprochent, s'étreignent, s'enlacent et s'embrassent tendrement à grands coups de langues. Le beau brun s'approche du sexe de son copain blondinet pour lui faire un blowjob qui ne tarde pas à faire durcir, sous l'effet de succion, son gland. Au tour du blond de s'activer sur le cul déjà dilatée de son partenaire, qui se mordille les doigts sous l'effet de cet anulingus appliqué. Il est maintenant prêt à se mettre à quatre pattes et offre son cul à son pervers qui se positionne derrière lui et enfonce sa queue turgescente dans cet anus chaud et accueillant pour le ramoner activement. Cette délicieuse et virile pénétration anale conduit les deux protagonistes à l'orgasme... L'un se vide à l'intérieur de l'autre qui, quant à lui, jouit abondamment et couvre de miel son ventre et son nombril percé après s'être activement masturbé tout au long de cette scène torride.

La vulve en chaleur est sapée comme un faux bourdon vert et bleu, sur un beau tricot rayé. Elle a aussi un soutif et un slip dans un joli ton de violet pour cacher ses gros flotteurs et ses deux trous extensibles… mais extensibles! Ses loches de la taille de deux belles cantaloups sentent le foutre et le lait à plein nez. Habilement, elle se lèche les enjoliveurs, se place dans des positions provocantes, embarrassantes en toute autre circonstance. Quand elle retire son slip c'est pour nous montrer des culs d'enfers sculpturales montées sur des guiboles de sprinteuse. Sa grotte libérée s'ouvre pour laisser le passage à un jouet qui semble la piquer comme un zgeg. Elle se tortille de douleur tellement c'est bon, et le dard s'enfonce loin, loin entre ses cuisses. Mais ça ne lui suffit pas, la belle y enfonce une main, puis comme pour la déchirer en deux, elle se sert des doigts de ses deux mains pour écarter les lèvres de sa caverne, les jambes aussi largement écartées qu'elles peuvent l'être. Puis dans un geste désespéré, elle cambre les culs, en levrette, enfonce les doigts à la fois dans sa fente et dans son minou du cul avant de reprendre le copain de plastique pour se l'enfoncer très loin, dans l'abricot du cul. Enfin, la foufoune en chaleur semble contentée...

Pour le plaisir de vos yeux et de vos sens, notre charmant modèle va exécuter pour vous un strip-tease complet devant l'objectif. Avant de s'étendre sur son lit blanc, il va prendre une douche brûlante et admirer ses muscles d'Adonis du périphérique et adopter les poses qui vous plaisent. Le bras replié dans la pose de la célèbre sculpture romaine, les muscles bien dessinés, le sillon de l'aine bien découpé, lustrés par l'eau qui ruisselle, son image dans la glace lui renvoie l'image d'un athlète de Marathon. Ses ablutions terminées, il se dirige vers son lit où, après avoir retiré son slip de bain, il s'étendra pour un moment de plaisirs solitaires. Dommage que ce beau corps n'appartienne à personne en ce moment. Il lui passe des idées de touchers intimes, ses fesses tressaillent quand il enfonce un doigt dans son abricot du cul et qu'il branle son zob. Des images défilent entre ses deux oreilles, dans ses yeux de braise on voit monter la tension palpable de son plaisir qui éjecte enfin de sa belle queue.

Une beauté asiatique aux longs cheveux pose pour une séance de photos assez spéciale, elle est fine avec des yeux noirs envoûtants qui fixent l'appareil avec envie. Car la jolie gonzesse a une particularité : elle a un sexe fourni d'une toison brune et dense, un vrai tablier de sapeur. Le photographe qui a plutôt l'habitude de photographier des femmes épilées soigneusement, est tout excité et très curieux de connaître les sensations que ça fait de se faire baiser un trou aussi poilu. Il s'approche donc du barbu de l'asiat et empoigne sa touffe à pleine main. Elle pousse un petit cri de douleur qui se transforme vite en une envie folle de se faire limer la fente pleine de poils par ce veinard entreprenant, mais pas avant de lui avoir taillé une bonne petite pipe, car elle craque ça. Après ce traitement buccal agréable, elle vient empaler sa petite vulve sur sa queue et commence à bouger les hanches sensuellement. Ils sont sur le point de décharger, mais le mari veut voir sa semence dégouliner sur les poils du pubis de la perle du Japon, alors il se finit à la main et s'épanche sur sa minette dans un soupir de satisfaction.

Elle vient d'avoir ses dix huit ans et cette étudiante en art, insouciante ne pense qu'à s'amuser ; elle est donc obligée de rester le soir pour prendre des cours avec sa professeur de dessin. La madame qui est aussi lesbienne mate depuis longtemps les formes naissantes de son élève, elle la convoque près d'elle, l'invite à s'asseoir sur le bureau, la blondasse ingénue pose ses fesses. La prof, retrousse sa jupette, passe sa main sur sa petite culotte rose, lui parlant de la beauté artistique de ses formes. Curieuse, elle se laisse faire et se retrouve les petits loches à l'air, que madame tripote avec envie avant de descendre vers son bas ventre, d'un doigt écarte sa culotte, libérant ainsi sa petite moule fraîche aux babines joufflues dans laquelle l'enseignante lesbos qui n'en peut plus va fourrer sa langue pour lui titiller le haricot. La foufe bien humide après ce cunnilingus d'experte, c'est avec un super godemichet en forme de pine planté dans son minou qu'elle se fait branler. Bien apprise, elle va de suite mettre en application ses leçons de masturbation au godemichet, ce qui ravit son éducatrice sexuelle…

Les jeux sexuels atteignent un certain niveau dans cette vidéo ou un garçon est installé jambes en l'air, trou du cul au vent le zgeg à portée de la main de l'infirmière qui va lui faire un traitement complet d'élargissement anal. Déterminée à lui élargir le fion, l'oignon, elle va y introduire toute sorte de jouets qui vont aller en grossissant jusqu'à atteindre une taille maximum. La chaudasse y prend un évident plaisir, profitant au passage de la queue du mâle qui a un dildo coincé dans l'abricot du cul. Il n'a pas l'air de s'en plaindre, bien qu'on ne puisse vraiment trop en juger en raison du masque qui couvre son visage. Au moment de l'insertion d'un objet plus gros, on le voit qui se crispe un peu. Surplombant le ventre du mâle, elle lui pompe la bite par devant. Elle s'en empare par derrière pendant qu'elle manipule le jouet. Elle lui branle le manche son sarreau ouvert, le caressant de la paire de mamelles et des hanches. C'est une longue séance de jeu sexuel où l'équipement crée une tension palpable.

Cette vidéo n'a pas vraiment d'histoire, sinon celle de deux amants qui s'aiment et se font l'amour. N'est-ce pas l'histoire la plus connue de l'humanité, celle qui se répète pour les individus comme pour les poules. Ces deux hommes sont des âmes solitaires qui se sont trouvées un partenaire. Depuis le jour de leur rencontre, ils ne manquent pas une occasion de se montrer leur reconnaissance, leur joie de vivre et d'être ensemble. Sur ce sofa du salon ils se mangent, se caressent, s'embrassent comme le font les pervers. Leurs peaux dénudées se frottent, leurs mains se baladent à la recherche d'un entrejambe, d'une aisselle, du sillon des culs et bien sûr c'est sur leurs baguettes qu'elles s'attardent le plus longuement. Quand leurs sensations atteignent le paroxysme, ils en viennent au fond des choses et s'attardent à leurs trou du cul où ils ne tarderont pas à pénétrer d'une baguette à tête chercheuse. Ils préservent leurs énergies pour ce contact intime qui réclame toute leur attention. Ils doivent d'abord stimuler leurs sphincters, l'assouplir, le rendre réceptif. Ils le lubrifient et rendent leurs baguettes lisses, le plus possible afin de faire de la pénétration la caresse souhaitée la plus douce possible. À tour de rôle ils pratiqueront un tendre va et vient avant de laisser jaillir dans une fulgurante et plaisante douleur. Ils laisseront échapper leurs rires nerveux, témoins de leur bien-être.

La cocotte se trouve dans un décor de clinique. Elle est couverte d'une combinaison de maîtresse sado-maso. Le caïd dans un sarreau blanc l'attend. Il joue au médecin avec la pouf. Lui demande de retirer le haut de sa combinaison et de lui montrer ses obus. Sa queue se dresse et la succube s'en saisit, prête à lui faire un autre jeu. Mais lui veut d'abord lui enduire la peau. Ainsi lubrifiée, sa peau brille et glisse, prélude à une première pénétration dans sa moule luisante et glissante… À son tour la fille devient dominatrice. Elle pose un bâillon au mec et revêt un gode-ceinture. Elle joue ensuite à piquer des pinces à linge un peu partout sur le ventre du type, elle le suce et se fait sucer le vibro, elle lui fait aussi sucer le manche dont elle se servira pour lui élargir le derrière avant de le pénétrer de son jouet sexuel. Ses gros enjoliveurs s'agitent dans le mouvement de taraudage qu'elle nous offre. Elle ne s'arrêtera pas en si bon chemin et enfoncera dans le postérieurs élargi du mec une main qu'elle a couvert d'un gant de latex. Bien qu'il s'agisse d'un jeu, la créature y met vraiment beaucoup de sérieux. Elle ira loin cette créature !

Deux jolies nanas assises sagement au salon, à peine vêtues de leur bijoux et d'une paire de bas, ont le champ libre pour s'offrir quelques caresses amicales. Du haut de leur trentaine, elles se regardent et se désirent, touchent gentiment leurs entrecuisses, se caressant les mamelons gonflés, s'embrassant à pleine bouche de leurs longues langues. La main caressant le trou de l'autre, elles se laissent bercer et renverser sur le dos. La ténébreuse d'abord plonge une langue curieuse dans la foufe de sa brune amie découvrant son petit clitoris, plongeant sa langue entre les nymphes de la foufe aimée. Elle trace des arabesques pleines de salive dans un mouvement guidé seulement par les replis juteux qui courent le long de la nymphe. Puis, c'est avec un godemiché brillant qu'elle arrache des cris à la dame, qu'elle fait taire immédiatement. Son agitation est à son comble quand la jolie aux bas nylon renverse à son tour sa tourmenteuse, pour plonger des doigts vigoureux dans sa nymphe entre des jambes largement écartées. Le plaisir se lit dans leur regard. Ces deux là ne s'ennuient pas si elles sont laissées à elles-mêmes.

Devant de telles guiboles, une telle paire de nibards, un tel arrière train, comment rester insensible, on n'est pas de bois! Elle le sait et elle en profite. Se placer dans la lumière, jouer de la transparence diaphane des sous-vêtements ou des mailles du filet qui lui fait office de jupe est un divertissement pour elle dont la tête blonde évoque les chauds rayons du soleil. À travers les deux loupes de ses yeux de braise, brille un feu qui appelle et embrase littéralement. Débarrassé d'artifices elle est encore plus belle. Ses tétons alors pointent vers le ciel, sa moule est la station d'accueil du vaisseau mère, unique planque de salut. Quand elle fait la faveur d'une fellation, on en veut davantage. La saisissant à bras le corps, sans chercher de position plus confortable, le gaillard qui l'a approché d'aussi près l'embroche sur son javelot dressé, la possédant totalement, là, debout au milieu de la pièce. Dans son dos elle se laisse enfiler alors que ses boobs sont offerts à ses yeux et à ses mains. Sa bouche aussi est à vous, elle rallume le désir en faisant de la respiration artificielle avec la langue. Renversée dans une position qui révèle sa caverne et son pot d'échappement elle se laisse défoncer à même le sol, se faisant fendre en deux. Agenouillée elle reçoit enfin tout votre émoi dans une giclée de nectar chaud.

N'est-elle pas à croquer cette jolie brune ? Si elle paraît toute timide, c'est qu'elle a enfin osé franchir le pas et accepté de tourner une scène. L'idée l'a toujours excitée et la voilà qui se touche doucement devant nous, hésitant un peu avant de nous montrer ses petits tétons et de baisser légèrement sa culotte. Repérant un stimulateur qui se trouve à portée de main, elle l'attrape et le met lentement dans sa bouche avant de se retourner. Elle nous montre on petit cul fabuleux et s'enfonce l'objet dans la foufoune le plus profondément qu'elle peut. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que nous lui avons trouvé un partenaire pour remplacer son joujou, un bel amant en chair et en os qui n'en est pas à sa première petite chatte. Il lui donne sa bite à goûter et a rapidement une trique incontrôlable, qu'il s'empresse d'enfiler dans le tunnel serré de la ténébreuse. Les gémissements de la belle se font tout à coup plus suaves et plus profonds. Mais le marteau-piqueur ne compte pas s'arrêter là. La belle va faire plein de roulés-boulés partout sur le canapé !

En voilà une qui ne manque pas de rondeurs ! Des tétons énormes, lourds et moelleux à souhaits, du pur naturel et l'arrière-train qui va avec ! Cette pouf bien en chair est une sacrée obsédée sexuelle. Son kiff avant de se faire tringler est de s'adonner à la masturbation en solo, sex toy en main pour stimuler la libido de son jules. Et à tous les coups elle gagne ! Le voyant bander comme un âne, elle agrippe sa bite et l'emprisonne entre ses nibards pour le branler avant de continuer avec sa bouche. Puis c'est au tour du mâle de lui rendre la pareille en fourrant sa tête entre ses jambes pour lui bouffer la moule. L'opulente créature le laisse alors déguster son sexe. Puis son minou bien mouillé, la pute lui grimpe dessus. Bien au chaud dans son antre, il va la baiser et s'attarder dedans jusqu'à ce que le simple fait de retenir son jus devienne impossible et qu'il inonde sa foufe d'une giclée de crème bien chaud.

Voilà la vidéo très intime d'un jeune couple de vingt-cinq ans, dont la cocotte, une ténébreuse chaude comme le soleil, est tout simplement à croquer. Ses loches sont deux pommes juteuses qui sortent de son décolleté blanc, et qui se dressent dès que la main du type les effleure. Devant sa gonzesse en string, celui-ci hallucine et la filme sous tous les angles. Il déboutonne son pantalon, qui aurait craqué de toute façon, et laisse la belle sauvageonne aspirer son zob à pleine bouche. Il est au garde à vous à n'en plus pouvoir et voit sa pine aller et venir dans cette bouche gourmande et sensuelle. Une seule idée en tête : filmer le petit pétard indécent de la belle pendant qu'elle se fait baiser. Ni une ni deux, la voilà qui se retrouve prise à quatre pattes par le bonhomme et qui gémit comme une jeune chatte en chaleur. Après avoir exploré tous les recoins de ce petit vagin rose, le caméraman est au bord du gouffre. Il demande à la jolie de regarder l'objectif et propulse toute son foutre sur son visage.

Après avoir entretenu une correspondance sur Internet, les deux tourtereaux virtuels ont décidé de se donner un vrai rendez-vous. Il passa la prendre en taxi à le salon prévu et ils purent faire enfin connaissance. Tout de suite, le courant passa et ils se plurent à découvrir leurs vrais visages et surtout, leurs corps. En quelques secondes, ils étaient déjà excités sexuellement et avaient une féroce envie de se toucher. Sous le regard approbateur du chauffeur, le caïd souleva le chandail de sa nouvelle flamme et découvrit ses superbes loches, qu'il palpa comme des melons bien mûrs. En silence, il dégagea son chibre de son jean et la belle s'empressa de l'attraper. Elle glissa sa main vers sa moule et, de son doigt, fit remonter son miel jusqu'à son clito en laissant échapper un cri. En alternance, ils se mangèrent jusqu'à destination. Une fois dans l'appartement du jeune homme, ils purent enfin se laisser aller à leur guise. Jamais une queue n'aura perforé les orifices d'une inconnue aussi longtemps et dans autant de positions différentes, c'est garanti !

Le grand black tient dans sa main un bien joli gros piston et a bien l'intention d'inculquer le maniement de ce dernier à la belle blondasse. Elle, on pourrait la définir comme une talentueuse pompeuse de chibre quand on la regarde lécher si passionnément le zgeg qui lui fait face. Les premiers spasmes de notre monstre démontrent qu'il ne maîtrise pas totalement la situation. Elle est une experte et elle le sait. Suçant, avalant cet engin de toute sa gorge, la voici totalement en transe. Notre homme semble découvrir la pipe pour la première fois et, sentant son heure arriver, il réagit et donne un coup de rein inespéré pour se libérer de cette emprise gourmande. Voici la belle en mauvaise posture en train de se faire pilonner le fin fond de la foufoune. Mais la blonde au corps de rêve a plus d'un tour dans sa fente : une foune de velours en quête de pieux, conçue pour dompter les plus agressives.

Cette cocotte elle craque les belles voitures bien carrossées comme elle… et leurs propriétaires par la même occasion, s'ils sont musclés, bien équipés et riches. Se balladant près de l'une de ces voitures de collection, la foufoune en chaleur croise un amant qui semble être son propriétaire. Sans hésiter elle le cherche en dévoilant ses courbes à elle. Des formes arrondies, une taille forte et ferme, des enjoliveurs plantés bien hauts de bonnes fesses le tout chaussé de longues bottes qui habillent son corps jusqu'à mi-cuisses. Le reste n'est caché que par un petit slip et un soutien-gorge bikini. Le veinard tâte la marchandise, soupèse les mamelons gonflés, flatte l'abdomen et demande à voir le moteur. La belle montre alors sa nymphe puis la recouvre. À son tour elle veut voir l'engin du gars. Elle n'est pas déçue. Loin de cacher sa joie, elle pompe et suce la tige du lascar qui veut maintenant vérifier la pression d'huile au moyen de sa tige. Séduite, la chatte en chaleur va s'ouvrir et lui offrir sa foufoune bien lubrifiée. S'ensuit une course du piston dans sa culasse qui s'échauffe. Elle prend divinement les virages et reçoit le membre du gars sur le dos, à cheval puis sur le côté alors qu'il s'égare un peu dans son anus. Tous deux assouvis, il s'excuse et la quitte pour aller garer la voiture du patron dans le garage…

Léona se déplace dans la résidence au trois quarts déshabillé. Ses instincts lui jouent parfois des tours et si ses chaleurs sont choses du passé, elle éprouve parfois de grosses bouffées de désir qu'elle ne peu calmer sans se livrer à une séance de masturbation effrénée. Se jetant sur son plumard, elle sent le besoin de triturer la pointe de ses loches qui la démange comme mille fourmis et plus elle les masse et les titille, plus sa foufe réclame ses soins. Elle écarte alors son slip et glisse les doigts dans sa caverne à la recherche de son clitoris. Elle alterne les caresses entre l'ouverture de sa foune et la perle de son entre jambe. Mais rien n'y fait, elle éprouve toujours cette sensation de vide à combler comme un junkie qui n'aurait pas sa dose. Elle recourt alors à un petit joujou qu'elle s'est procurée dans un sex-shop, de loin son meilleur achat depuis qu'elle a perdu son lascar. Léona soulage alors l'atroce démangeaison par l'introduction du engin factice profondément dans sa fente . Fouillant son abricot comme on fouille dans ses souvenirs, elle cherche des sensations plus fortes et trouve le vagin de son pot d'échappement et y enfonce le joujou puis un doigt qu'elle maintient là pendant qu'elle replonge le joujou dans sa caverne. À force de manipulations elle finit par atteindre le palier souhaité puis le plateau d'où elle ne reviendra qu'une fois comblée par ses propres attouchements.