Recherches "l'équipe," : Scènes les plus récentes - 30 scènes trouvées

Cette jolie bitch en top rose traîne dans les vestiaires des individus en toute insouciance, essayant de draguer le capitaine de l'équipe de football… Mais alors que le caïd se prépare, il voit cette chaudasse à tresses le regarder et lui exhibe sa grosse bite immédiatement. Stupeur ! La poulette n'a jamais imaginé qu'un pareil engin pouvait se cacher entre les cuisses des caïds ! Ses yeux sont complètement exorbités, et sa petite culotte s'imbibe de mouille à vitesse grand V ! D'un geste timide, elle prend ce gros gourdin dans le creux de sa main et le sent palpiter, et même encore grandir, dans sa petite main… Vous l'aurez deviné : pour une curieuse pareille, la tentation était trop forte ! Elle s'agenouille docilement et essaye de fourrer tout ce tas de chair dans sa petite bouche, bien trop étroite pour l'engouffrer d'un coup… Le gars jubile. Il est prêt pour l'initiation de cette pute. Elle qui ne pensait jamais pouvoir se caler un tel organe dans la cramouille, elle va même le prendre dans le rectum !

L'équipe a loué une grande villa au bord de la mer pour finir le tournage du film. Du coup, forcément, tout le monde est au top : soleil, piscine, cocktails… Pas étonnant que les actrices partent en vrille ! Une belle brunette commence à se faire taquiner par deux gonzesses à moitié déshabillé, qui tournent autour de son corps et la tripotent allègrement. Deux de ces bimbos décident d'aller déranger l'acteur qui somnole sur son transat, tranquille, au bord de l'eau. L'amant est réveillé par une belle pipe sauvage qui le fait durcir dans la seconde, lui collant un gourdin impossible à cacher sous son pauvre maillot de bain. Les deux bombasses s'amusent comme des folles et s'activent sur la bite du bonhomme, avant de s'enfiler, comme si de rien n'était, sur la grosse queue dressée. Mais ces succubes là ne s'enfilent que les arrières-trains en avant, et se plantent l'organe directement dans le fion ! Notre type, qui dormait paisiblement il y a encore dix minutes, se retrouve en train de perforer les postérieurs de ces gonzesses à plein régime. Leurs deux fions bouillants, rendus plus bouillants encore par le soleil, réclament toujours un petit coups de chibre supplémentaire !

On s'imagine souvent à quoi ressemblent les vestiaires féminins. Mais la gonzesse que voici file directement dans les vestiaires masculins pour s'exciter un coup. Avec sa jupette et son haut noué entre les flotteurs, elle va respirer des fringues de mecs bien puantes en se branlant le clitoris ! Cette vilaine frétille comme une pile électrique et sent l'orgasme poindre au bout de ses lèvres quand l'entraîneur de l'équipe masculine se pointe dans le vestiaire ! Il surprend cette pouf avec les doigts enfoncés en elle et la bave aux lèvres… Il ne peut que lui offrir son bon secours de sportif en lui tendant son zob. Avec ses mignonnes petites tresses, la goulue avale la queue qu'on lui offre et se retrouve bientôt allongée sur le banc, les quatre fers en l'air. Le pauvre coach, qui passe sa journée avec des groupes de mecs, tient enfin une vraie belle cochonne qu'il peut turbiner à sa guise ! Une foune serrée comme celle qu'il baise à présent, ça le rend tout bizarre notre coach… Il a une folle envie de tartiner cette bonasse pour marquer son territoire !

Nous sommes invités chez un vieux businessman qui s'offre de temps en temps des plaisirs pervers. Aujourd'hui, il fume un cigare et inspecte la gonzesse du jour, une blondinette hyper bonne, avec un petit cul moulé dans une culotte irrésistible. Il la tripote, fourre son cigare entre les lèvres de sa foufe, puis lui présente le groupe de mecs qu'il a choisi pour elle. Cette pouf s'apprête à être jetée en pâture à huit gaillards montés comme des bêtes ! Livrée à elle-même, elle se retrouve encerclée par toutes ses bites, une avalanche de gourdins qui plongent dans sa bouche, dans sa fente et font rebondir son corps de chienne dans tous les sens ! Depuis toujours, cette succube blonde jouit à l'idée d'être soumise à plein de types, humiliée et violemment défoncée par toute une équipe de mecs, puis de se faire recouvrir tout le visage de leur sperme gluant. Elle ne quittera l'endroit que tartinée de fond en comble par la semence de toute l'équipe… Notre businessman, qui regarde tout ça depuis son fauteuil, se dit qu'il a enfin trouvé la pute parfaite pour ses gangbangs du dimanche !

Les jeux sexuels atteignent un certain niveau dans cette vidéo ou un garçon est installé jambes en l'air, trou du cul au vent le zgeg à portée de la main de l'infirmière qui va lui faire un traitement complet d'élargissement anal. Déterminée à lui élargir le fion, l'oignon, elle va y introduire toute sorte de jouets qui vont aller en grossissant jusqu'à atteindre une taille maximum. La chaudasse y prend un évident plaisir, profitant au passage de la queue du mâle qui a un dildo coincé dans l'abricot du cul. Il n'a pas l'air de s'en plaindre, bien qu'on ne puisse vraiment trop en juger en raison du masque qui couvre son visage. Au moment de l'insertion d'un objet plus gros, on le voit qui se crispe un peu. Surplombant le ventre du mâle, elle lui pompe la bite par devant. Elle s'en empare par derrière pendant qu'elle manipule le jouet. Elle lui branle le manche son sarreau ouvert, le caressant de la paire de mamelles et des hanches. C'est une longue séance de jeu sexuel où l'équipement crée une tension palpable.

Voilà une vidéo qui n'est pas de tout repos, certes, mais qu'on ne manquerait pour rien au monde. Des gonzesses canons comme s'il en pleuvait, des tétons, des arrières-trains, des courbes magnifiques en veux-tu en voilà… Tout se passe à la fin d'un match, dans les vestiaires, où les chaudasses de l'équipe fêtent leur victoire au champagne. La température grimpe vite, et voilà trois des plus chaudes femmes de la Terre nue, se pinçant mutuellement les enjoliveurs, se léchant, se mordant… Ah ! Que ne donnerait-on pas pour passer une tête dans la salle ! Heureusement pour elles, rien ni personne ne viendra les déranger, ce qui leur laisse tout le loisir de se lécher, se baiser et de évacuer comme trois vraies chiennes. Complètement allumées, elles allongent l'une d'elles sur le banc pour s'en occuper de fond en comble, et lui faire découvrir des zones de son abricot qu'elle ne connaissait pas. Puis c'est le tour de la brune, bonne comme le diable, qui se penche pour recueillir les doigts de fées de ses copines dans sa vulve imbibée de mouille. La dernière, elle non plus, ne sera pas en reste… Une chose est sûre : on attend la prochaine victoire avec impatience.

Quand le docteur sort de sa clinique, il est complètement furax de voir à quel point le jardin est en bordel. Des trucs traînent partout sur la pelouse, et il appelle tout de suite l'infirmière pour la renvoyer. Lorsqu'il lui dit qu'elle est virée, elle se casse en pleurant dans sa chambre. Pas mauvais bougre, le doc vient la consoler et la rassure en la tripotant ici et là. Il veut bien la garder, mais elle doit faire des efforts… L'infirmière est diablement bandante, cette chienne, avec une petite tenue d'infirmière en latex et ses gigantesques nibards. Le doc sait recruter, et sait surtout profiter de son personnel. Quel bonheur de voir cette bonnasse se faire pétrir les flotteurs, et se mettre à sucer le zob vicieux de son boss… En écartant simplement son string rouge, le docteur bouffe sa fente rasée, puis la pénètre sur le lit. La succube se met à jaillir de plus en plus fort et ses gros seins ballottent sous les coups de butoir du mec. Il finit par prendre cette pétasse en levrette et propulse sa crème sur son cul tatoué… Autant la garder un peu dans l'équipe, se dit-il avec sagesse !

Ce grand black costaud arrive dans le bureau de sa productrice pour lui présenter les deux bombasses qu'il a dégotées aujourd'hui. Les deux gonzesses sont plutôt sympathiques, mais la patronne les trouve beaucoup trop maigres. Elle veut de vraies femmes, avec de vraies formes, et montre au type ce qu'elle entend par là. Elle prodigue donc entrer ses deux nanas fétiches, deux belles blacks aux corps fabuleusement ronds et aux formes plus que généreuses. L'amant essaie de défendre ses gonzesses mais se plie à la volonté de la patronne, qui lui demande d'observer ces deux grosses cochonnes se lécher la foufoune. Le spectacle a finalement raison de lui ; il est au garde à vous comme un âne et se trouve obligé d'interrompre le spectacle pour rentrer dans l'équipe. Il sort sa pine, immédiatement avalée de fond en comble par ces deux gloutonnes complètement délurées. Le lascar ne sait plus où donner de la tête ; il nage avec bonheur dans cette avalanche de chair, de nibards et de culs à n'en plus finir !

L'équipe de tournage au grand complet est dans l'appartement, mais l'actrice qui doit tourner la scène ne se pointe pas. Les individus sont sur le point de remballer et de rentrer chez eux quand la petite soeur de leur maquilleuse, une jeune poupée blonde de 19 chandelles, fait son entrée. C'est une occasion unique de tourner la scène qu'il leur manque; ils s'empressent de négocier avec cette beauté providentielle. Quelques minutes plus tard, la voici fin prête pour sa première scène porno. Et l'acteur en question ne va pas lui faire de cadeaux. Il la désape férocement et commence à la lécher comme un fruit et à la faire miauler comme une foufoune. Il la met à genoux pour évaluer ses qualités de suceuse, et force est de constater qu'elle dispose d'un bon potentiel. Le maître la guide un peu dans ses premiers pas, mais la belle n'en est pas à sa première queue. Pour quelques dollars de plus, cette bombe est prête à tout, et nous le prouve !

Bienvenue dans une séance de sexe pur comme les trans en ont le secret ! L'après-midi s'annonce exceptionnelle car nos 5 trans de dingue, toutes gaulées comme des avions de chasse, ont capturé quatres types baraqués qu'elles ont ligotés au sol et s'apprêtent à les libérer pour le meilleur ou pour le pire. À peine lâchés, les individus se mettent à lécher et bouffer les arrières-trains de ces poufs à pleine langue. Puis les cinq créatures de rêve s'alignent côte à côte, les bonshommes étant chargés de sucer l'une après l'autre leurs cinq queues grandissantes. Ca promet : tout le monde bande déjà ! Les choses sérieuses peuvent commencer, et laissez-moi vous dire que les neuf tarés du cul ne sont pas là pour enfiler des perles. Les baises anales commencent à pleuvoir à tout va, une avalanche de chair, de bites et de seins se forme. Là-bas, une trans se fait sauvagement défoncer le rectum par un veinard surexcité ; ici un lascar a la bouche limée par la verge d'une chienne… C'est à ne plus où donner de la tête, ni quel trou serré défoncer en premier. Cette grosse séance de baise intense ne pouvait pas s'achever sans faire un choix : laquelle des cinq trans recevra tout le jus de l'équipe ?