Recherches "débardeur," : Scènes les plus récentes - 22 scènes trouvées

Ces deux types font leurs entrées de bon matin chez leur camarade, qui est encore en train de dormir mais les accueille tout de même avec bonne humeur. Elle file terminer de s'habiller et revient avec une petite jupe à carreaux plutôt provocante et un débardeur blanc. Les deux mecs sont un peu timides mais, faites-leur confiance, cela ne va pas durer. Ils progressent petit à petit, la matant sous toutes les coutures, la palpant, puis lui caressant franchement la fente sur son canapé. L'étudiante est bien plus chaude qu'il y a seulement dix minutes et se montre encore plus entreprenante que les deux compères. La voici en train de se faire bouffer la foufoune par l'un tout en suçant avidement la grosse bite de l'autre dans sa petite bouche. Quand le plus petit des deux se met à la prendre en levrette, on découvre dans ses cris de jouissance que la belle est encore plus garce qu'on ne l'avait soupçonné. Elle bouge ses hanches et sa petite chatte dans tous les sens pour pousser les racailles à la tringler du mieux possible. Dans la foune, dans le derrière ou dans la bouche : tous les moyens sont bons pour faire hurler cette fille d'étudiante !

Quelle milf ! Celle dont vous rêviez depuis des années est aujourd'hui devant vous, penchée sur la fenêtre passager de votre voiture. Le bonheur ! Elle porte un débardeur mauve décolleté, qui laisse imaginer deux énormes nichons mûrs et juteux... Une fois à l'intérieur, elle ne se montre pas bien farouche ; les deux gars la tripotent à volonté, glissant leurs mains sous sa jupe de pute et tâtant sa paire de mamelles miraculeuse. Une fois à la bicoque, ses habits ne tiennent pas bien longtemps. À poil, elle est magique ! Ses deux gros loches sont absolument parfaits et son corps vous filerait la gaule en un clin d'oeil. Cette chaudasse a tellement d'expérience avec une queue dans la bouche que le veinard ne peut s'empêcher de lui défoncer la gorge. Il se branle, encore et toujours, dans cette bouche chaude, humide et expérimentée, en regardant cette bonasse se tripoter la chatte. Il voudrait bien la baiser, mais ne peut se résoudre à enlever son mandrin de ce gosier miraculeux. Il goûte un peu cette chatte quadragénaire mais ne peut résister à l'envie de vider sur la langue rose et gourmande de cette traînée. Décidément, personne ne remplace une vraie femme...