Recherches "Main" : Scènes les plus récentes - 2871 scènes trouvées

Le décor ici se déguste. La sauce est relevée de pics en acier. Toujours accompagné de cuir et de chaine. La victime est un garçon, imberbe de la tête au pied. La maitresse des lieux est plutôt cochonne, vêtue d'un corset rouge et d'un pantalon de cuir. Avec une patronne aussi pulpeuse, il est difficile de résister au châtiment affligé. Cette dominatrice fantasme à l'idée d'exploser l'arrière-train de ce maso, et décide d'en préparer le terrain. Pincer les obus de la victime consentante puis les tirer avec des chaines. Couvrir son zob de cire brulante. Fouetter son cul jusqu'au rougissement de la peau. Presser ses couilles à pleine mains. Puis, armée de gants en latex, préparer son anus en y infiltrant un doigt délicat pour prendre la température. Le four est chaud ! La dominatrice à l'esprit pervers s'empare d'un gode ceinture et l'enfouit dans son arrière-train. Lorsque celui-ci atteint le plus profondément l'antre maintenant dilaté, le gars ressent des frissons de douleur mêlés d'un engourdissement d'extase digne des meilleurs orgasmes masculins. Le veinard surexcité se laisse complètement dominer et libère son nectar dans une explosion associée à un hurlement d'extase. La cheftaine des lieux se fera baiser les pieds pour affliger une ultime humiliation psychologique à notre homme encore et toujours comblé de châtiments.

Après avoir entretenu une correspondance sur Internet, les deux tourtereaux virtuels ont décidé de se donner un vrai rendez-vous. Il passa la prendre en taxi à le salon prévu et ils purent faire enfin connaissance. Tout de suite, le courant passa et ils se plurent à découvrir leurs vrais visages et surtout, leurs corps. En quelques secondes, ils étaient déjà excités sexuellement et avaient une féroce envie de se toucher. Sous le regard approbateur du chauffeur, le caïd souleva le chandail de sa nouvelle flamme et découvrit ses superbes loches, qu'il palpa comme des melons bien mûrs. En silence, il dégagea son chibre de son jean et la belle s'empressa de l'attraper. Elle glissa sa main vers sa moule et, de son doigt, fit remonter son miel jusqu'à son clito en laissant échapper un cri. En alternance, ils se mangèrent jusqu'à destination. Une fois dans l'appartement du jeune homme, ils purent enfin se laisser aller à leur guise. Jamais une queue n'aura perforé les orifices d'une inconnue aussi longtemps et dans autant de positions différentes, c'est garanti !

Le grand black tient dans sa main un bien joli gros piston et a bien l'intention d'inculquer le maniement de ce dernier à la belle blondasse. Elle, on pourrait la définir comme une talentueuse pompeuse de chibre quand on la regarde lécher si passionnément le zgeg qui lui fait face. Les premiers spasmes de notre monstre démontrent qu'il ne maîtrise pas totalement la situation. Elle est une experte et elle le sait. Suçant, avalant cet engin de toute sa gorge, la voici totalement en transe. Notre homme semble découvrir la pipe pour la première fois et, sentant son heure arriver, il réagit et donne un coup de rein inespéré pour se libérer de cette emprise gourmande. Voici la belle en mauvaise posture en train de se faire pilonner le fin fond de la foufoune. Mais la blonde au corps de rêve a plus d'un tour dans sa fente : une foune de velours en quête de pieux, conçue pour dompter les plus agressives.

Nos copains sont partis en weekend dans une résidence de campagne avec piscine pour profiter un peu des derniers jours de l'été. Leurs corps sont déjà pas mal bronzés et ils en profitent pour faire de jolies photos, qui deviennent vite plus coquines quand les deux se mettent à montrer et toucher leur sexe à tout va. Maintenant qu'ils bandent tous les deux, que voulez-vous qu'ils fassent ? Le premier s'agenouille sans dire un mot et commence à sucer le zgeg dressée de son amant, visiblement ravi. Ce dernier lui rend la pareille et va plus loin : il retourne le brun et le sodomise directement sur le bord de la piscine. Complètement excité, il lui lance des coups de reins de plus en plus furieux, puis lui présente sa rondelle à son tour. Les baises anales pleuvent et le soleil surgit. Ces deux-là ne vont pas tarder à se éclater dessus car la piscine les appelle !

On croit souvent que les blondes sont les souffre-douleur des profiteurs. La jolie serait plutôt le contraire ayant appris à coucher utile pour grimper les degrés de la porno industrie. Elle rencontre justement un colossal producteur aujourd'hui dans son loft luxueux de Malibu. Jouant des flancs, elle traverse la pièce vêtue seulement d'un bikini ornée de zébrures de tigresse. Souriant bêtement elle prend ses obus dans ses mains et laisse tomber son soutien-gorge. Glissant une main dans sa culotte elle caresse sa moule pendant que le tout-puissant s'approche se demandant juste par où commencer le festin. Il l'embrasse, lui lèche le cou et frotte sa panse contre le derme douce des boobs et de l'abdomen de la bonasse. Elise s'agenouille et saisit le javelot du gars entre ses lèvres et communique sa passion. Le pot d'échappement largement offert, c'est ensuite à lui de vénérer le sanctuaire de la chatte en chaleur. Comme on enfile une bobine sur un projecteur, il glisse son mandrin dans tous les replis de sa caverne et la remplie bien et fort. À nouveau agenouillée, elle reçoit la preuve de sa satisfaction en pleine poire, elle aspire tout la pouffiasse et s'en retourne comme elle est venue. Le contrat est à la poste.

Une belle femme hermaphrodite s'apprête à s'adonner à une séance intense de masturbation en visionnant des images sur Internet. Elle a empalé des sous-vêtements sexy et elle se masturbe du bout de ses doigts de fée. Elle glisse sa main dans sa culotte et y attrape son joli membre qu'elle s'affaire à rendre bien raide. Son ami se joint à elle et, voyant la belle chiennasse toute excitée et haletante, il se met aussitôt à bander et il désire plus que tout se l'approprier. Bien contente d'avoir de la compagnie, l'hermaphrodite dévoile ses deux beaux obus bien féminins et glisse ses doigts autour de la queue de son partenaire. Il écarte les cuisses pour faciliter la prise et savoure une branlette délicieuse suivie d'une pipe que seul un lascar peut exécuter de la sorte… Sans tarder, le mec a envie d'en faire autant et commence à lécher le mandrin de la demoiselle comme s'il s'agissait de la sienne. S'ensuit une guerre de bites à n'en plus finir, l'un défonçant la rondelle de l'autre et ainsi de suite, jusqu'à explosions mutuelles…

Ces deux-là ne sont pas des individus exclusifs. Tous deux ont un caïd commun qu'ils connaissaient avant de s'associer. Ils n'ont pas ignoré Joseph, le troisième larron pour autant et le voient plutôt ensemble pour une séance à trois. Quand y'en a pour deux… C'est tellement bon deux bouches de copains qui s'acharnent sur une baguette et des couilles et des culs totalement livrées à leurs divertissements. C'est si bon de retrouver des vieux copain avec qui ont a toujours trouvé un terrain d'entente favorable au plumard. Des copains et des baguettes familières qui connaissent le chemin d'un pot d'échappement grand ouvert, d'un pot d'échappement d'expérience qui s'assied sur une baguette sans la blesser, qui s'y colle, qui va et qui vient au rythme familier des battements de leurs cœurs… Maintenant qu'ils sont trois, les divertissements se sont agrémentés de nouvelles positions, les cadences ont beaucoup changé. Il faut maintenant penser à la tige qu'on a dans le pot d'échappement tout en enfonçant la sienne dans le pot d'échappement d'un autre. Et les baisers à trois sont beaucoup plus mouillés. Les baguettes se croisent comme trois épées et leur foutre jaillit ensemble ou l'un après l'autre, tous pour un, un pour tous!

Ces deux beaux mecs sont amis depuis quelques mois. Ils partagent maintenant un appartement qu'ils ont décoré à leur goût et dans lequel ils peuvent partager leur intimité de mecs gais et comblés. Chaque nuit ils se montrent comment ils s'aiment. Il y en a tout le temps un pour inventer un nouveau jeu. L'autre soir, le premier a sorti un méga gode et a promis à l'autre qu'il l'aurait dans le postérieurs avant la fin de la nuit. Il a tout essayé pour détourner son attention de son plan tordu. Il l'a embrassé avidement, lui a fait la pipe de sa vie, alors que l'autre bras et jambes ouverts comme une grenouille à la vivisection était parcouru de chocs électriques. Son erreur a été de laisser son amant lui offrir la même chose. Quand il a été totalement nase sous ses caresses, son cochon de copain en a profité pour ressortir le sex toy et lui glisser dans le minou du cul pendant qu'il lui tirait sur la tige. Si le veinard avait été un chien il l'aurait mordu mais ainsi agrandi, il a profité de l'occasion pour se faire enculer comme jamais par un lascar fier de son coup. Les deux ont fini par s'arroser longuement et ont fini par s'assoupir.

Un type un peu curieux aperçoit un garçon nu, un peu oisif puisqu'ayant oublié de tirer ses rideaux. Celui ci se touche fermement sur le sofa de son salon. Qu'il est excitant de mater une scène porno à travers les barreaux d'une fenêtre. Notre passant s'attend à ce qu'une femme le rejoigne. Finalement notre homme se masturbe seul, enfin c'est ce qu'il croit. Notre passant scotché devant la vitre. Il se découvrira même un penchant homo. La crainte de se faire voir décuple le plaisir du voyeur. Il n'a visiblement aucune gêne à se rincer l'œil gratuitement. L'autre, qui ne sait pas qu'il est maté, se touche sans retenue dans l'intimité totale ou presque. Il caresse sensuellement son zgeg, le regard plongé dans le vide. Notre voyeur a une belle érection devant tant d'authenticité. Et comment ne pas bander devant une aussi belle queue. Regardez son corps se tordre sous les spasmes de plaisirs au fur et à mesure qu'il active sa main. Comme un soda que l'on secoue de trop et dans un dernier à-coup, il accompagne l'ultime branle de sa main vers une envolée de semence sortie du fin fond des burnes ! L'interdit est si bon…

La sonnette retentit. La belle rousse attend son invitée, qu'elle a convoquée pour une autre séance de sexe torride. Elle a déjà commencé le job en se masturbant à pleine main pour être bien prête. La jolie brune arrive et est hors de contrôle. La vue de cette déesse splendide déjà réchauffée la rend folle de désir. Tout ce qu'elle veut, c'est être à son entière disposition. Elle s'installe par terre et répond aux ordres de son hôtesse, qui lui enfonce une balle dans la bouche pour l'empêcher de crier et lui attache les mains derrière le dos. Elle agrippe ses belles loches à deux mains et les presse, lui arrachant presque les mamelons pour la mettre en appétit. Impuissante, elle ne peut que se débattre et essayer de neutraliser son adversaire en fourrant sa langue dans son cul. Les deux gonzesses s'entendent à merveille. À voir tous les beaux godes qu'elles possèdent, dont un harnais bien pratique pour défoncer n'importe quel orifice, parions qu'elles se feront monter très haut, ces deux aventurières…

Les rendez-vous chez le docteur n'ont rien de bien réjouissant pour la plupart des chattes en chaleur mais la séduisante nénette a trouvé une clinique dans les petites annonces qui promet de faire des prodiges sur les inhibées sexuelles. Dans la salle d'attente, la jolie feuillette fébrilement un magazine et mouille abondamment. C'est une angoissée qui répugne à rencontrer un professionnel pour ce genre de choses. Dans le salon à côté, trois copains se préparent à la rencontre en consultant son dossier. C'est la dernière patiente de la journée et celle-là, ils lui feront le service complet avant de rentrer à la bicoque. La magie opère, la pouf se sent la reine au milieu d'un harem de copains qui la matent, la déshabillent, lui font écarter les jambes alors qu'elle cède à toutes leurs exigences complètement impuissante. Elle subit le spéculum avec un certain plaisir. Elle subit les contacts rectaux et vaginaux, la palpation des enjoliveurs et l'auscultation avec une impatience qu'elle ne se connaît pas. Quand ils lui présentent leur bite à tour de rôle et qu'ils utilisent en elle divers instruments qui se trouvent dans la salle d'examen, elle ne se contient plus et mouille la table. Elle souhaite vivement avoir ces bites profondément en elle. Elle les aura toutes les trois et une averse de miel inondera ses lunettes qu'elle n'a jamais songé à enlever de peur de perdre un instant l'image de tout ce qui lui arrive de merveilleux. Elle reviendra subir son examen beaucoup plus souvent maintenant qu'elle a trouvé les bons médecins.

Cette splendide créature aux formes pulpeuses adore s'admirer. Dans sa salle de bain, agenouillée sur le lavabo devant le miroir, en tenue extrêmement légère, elle contemple son image tout en se caressant voluptueusement. Tandis qu'elle examine ses courbes sous toutes les coutures, la belle se fait surprendre par un ouvrier venu faire des travaux chez elle. Devant cette beauté du diable qui s'affiche devant lui en lingerie fine sexy, le caïd ne se démonte pas et tente le tout pour le tout. Se rapprochant d'elle, il va s'emparer de ses fruits opulents et moelleux à pleines mains et les malaxer. Le trouvant à son goût, la miss va le laisser s'amuser avec pour ensuite verser de l'huile dessus. Tandis qu'elle s'enduit langoureusement ses miches de produit, la chaudasse va écarter sensuellement ses cuisses pour offrir une vue panoramique de son intimité au gars. Tout en la regardant, la bave aux lèvres, le gars va libérer sa pine de son falzar. La bonasse au clito percé va alors en profiter pour lui caresser délicatement la verge avec son pied et l'émoustiller avant de l'emprisonner entre ses ballons et de la branler avec sensualité. Le kiki en érection, la pouffiasse va se retourner et lui proposer ses fesses rebondies et galbées pour qu'il puisse se frotter dessus. Puis gourmande, la drôlesse va s'emparer du mandrin et le porter à sa bouche pour le pompe avec délice. Cette experte de la pipe va tellement y mettre du cœur à l'ouvrage, qu'il ne faudra pas longtemps pour que le gus craque et éclate sur ses grosses pommes.

Ils se sont croisés sur les quais, leurs regards disaient tout. Sans échanger un mot, ils se sont emboîté le pas. Ils se sont retrouvés chez lui, ils n'ont pas hésité. Ils ne se connaissent pas mais connaissent déjà leurs membres… et retirant les attributs de leur époque comme autant d'obstacles à la vérité, ils remontent aux origines. Chaque muscle, chaque sillon connaît bientôt la langue de l'autre, la seule qu'ils aient en commun. Ces belles tiges se cherchent et leurs culs et leurs bouchent les dressent l'un contre l'autre dans des étreintes qui hérissent leurs épidermes de mille fibres nerveuses. Sur la terrasse leur amour domine la ville invisible. Sur le matelas ils se livrent à un amoureux combat à la rencontre de leurs deux cul-tures. Le troufignon livre ses secrets passages à le zgeg enflammée du de fortune. La peau parcourue de frissons se couvre de sueur moite pendant que le membre s'enfonce plus loin, plus fort. Le javelot bien en main l'autre masturbe le cyclope jusqu'à l'éjaculation libératrice. Dans son dos le foutre des couilles de son adversaire aimé se fraie un chemin dans le sillon de ses fesses et c'est pur plaisir de le sentir rejoindre le sien au bout de son gland qui retrouve le repos du guerrier.

Cette cocotte elle craque les belles voitures bien carrossées comme elle… et leurs propriétaires par la même occasion, s'ils sont musclés, bien équipés et riches. Se balladant près de l'une de ces voitures de collection, la foufoune en chaleur croise un amant qui semble être son propriétaire. Sans hésiter elle le cherche en dévoilant ses courbes à elle. Des formes arrondies, une taille forte et ferme, des enjoliveurs plantés bien hauts de bonnes fesses le tout chaussé de longues bottes qui habillent son corps jusqu'à mi-cuisses. Le reste n'est caché que par un petit slip et un soutien-gorge bikini. Le veinard tâte la marchandise, soupèse les mamelons gonflés, flatte l'abdomen et demande à voir le moteur. La belle montre alors sa nymphe puis la recouvre. À son tour elle veut voir l'engin du gars. Elle n'est pas déçue. Loin de cacher sa joie, elle pompe et suce la tige du lascar qui veut maintenant vérifier la pression d'huile au moyen de sa tige. Séduite, la chatte en chaleur va s'ouvrir et lui offrir sa foufoune bien lubrifiée. S'ensuit une course du piston dans sa culasse qui s'échauffe. Elle prend divinement les virages et reçoit le membre du gars sur le dos, à cheval puis sur le côté alors qu'il s'égare un peu dans son anus. Tous deux assouvis, il s'excuse et la quitte pour aller garer la voiture du patron dans le garage…

Deux copains qui ont plutôt l'air de taulards, se détendent complètement nus, dans un tout petit sauna où on comprend qu'il n'ont pas tellement le choix que d'être très proches. Quand ils doivent faire de la place pour un troisième client, en fait une cliente, une garce aux longs tifs d'ébène, il n'y a plus aucun doute, il y aura des frictions… La gonzesse porte un sous-vêtement rose qui révèle des contours qu'on ne peut que deviner sans le recul qu'il faut. Toutefois, elle sait prodiguer des pipes très convaincantes. Nos copains n'en reviennent pas. Très excités, ils se passent la baguette l'un à l'autre jusqu'à ce que l'étroit réduit révèle ses limites. Tous trois sortent du placard et reprennent leur activité. La poule suce un amant, l'amant suce l'autre mec avant d'enfoncer profondément sa baguette dans le postérieurs de l'autre, maintenant beaucoup plus accessible. La foune en chaleur n'en perd pas une miette mais se rend vite compte que ces deux là préfèrent être pénétrés que pénétrants. Qu'à cela ne tienne, un joujou fort à propos, surgit de nulle part et donne à la moule en chaleur un avantage que les gars n'ont pas outre leur trou du cul, qu'ils ont béant. En plus de posséder une chaude caverne, elle est maintenant équipée pour défoncer tous les copains présents sans débander un instant.

Léona se déplace dans la résidence au trois quarts déshabillé. Ses instincts lui jouent parfois des tours et si ses chaleurs sont choses du passé, elle éprouve parfois de grosses bouffées de désir qu'elle ne peu calmer sans se livrer à une séance de masturbation effrénée. Se jetant sur son plumard, elle sent le besoin de triturer la pointe de ses loches qui la démange comme mille fourmis et plus elle les masse et les titille, plus sa foufe réclame ses soins. Elle écarte alors son slip et glisse les doigts dans sa caverne à la recherche de son clitoris. Elle alterne les caresses entre l'ouverture de sa foune et la perle de son entre jambe. Mais rien n'y fait, elle éprouve toujours cette sensation de vide à combler comme un junkie qui n'aurait pas sa dose. Elle recourt alors à un petit joujou qu'elle s'est procurée dans un sex-shop, de loin son meilleur achat depuis qu'elle a perdu son lascar. Léona soulage alors l'atroce démangeaison par l'introduction du engin factice profondément dans sa fente . Fouillant son abricot comme on fouille dans ses souvenirs, elle cherche des sensations plus fortes et trouve le vagin de son pot d'échappement et y enfonce le joujou puis un doigt qu'elle maintient là pendant qu'elle replonge le joujou dans sa caverne. À force de manipulations elle finit par atteindre le palier souhaité puis le plateau d'où elle ne reviendra qu'une fois comblée par ses propres attouchements.

Ça alors, vous n'avez jamais vu une garce avec la caverne aussi ample qu'un mec puisse y plonger la main jusqu'à l'avant bras. Quant à y plonger la baguette, vaut mieux être deux ou alors y aller direct par le petit trou! La gonzesse est jolie, brunette, aux seins volumineux. Ses yeux en disent long alors que vous la surprenez dans la baignoire s'apprêtant à se passer le savon partout. Une lingerie sympa sont tout ce qui nous prive de sa beauté déshabillé et sans fard. La foufoune au corps de rêve s'accroupit à même le plancher de la douche et donne une bonne léchée aux deux baguettes qui se présentent à elle. Elle écarte largement les jambes et c'est une baguette qui franchit les lèvres de sa moule puis une main entière s'y engouffre alors qu'elle retient son souffle et le cri de surprise. La foune de la bonasse est maintenant dilatée au point où des deux mains, l'un des copains, l'ouvre d'une dizaine de centimètres. C'est fascinant, mais peu efficace pour une pénétration. Le mec va d'un trou à l'autre éprouvant le mélange de sensations que procure un abricot aussi ample et une rondelle aussi petit. À nouveau il y enfonce la main et cette fois il la plonge si loin qu'il peut caresser l'utérus de la pouffiasse, il pourrait presque lui faire une insémination. C'est à voir!

Dans son maillot exceptionnellement sexy, la belle déesse à la peau basanée se déhanche sous le regard approbateur de ses deux compagnons. Ils vont se la taper solide, c'est certain, mais avant, ils veulent la regarder s'exhiber devant eux. Nus sur le sofa, leur bite bandée pointée vers elle, ils attendent qu'elle vienne les sucer l'un après l'autre. Elle s'approche du premier et commence à suçoter le bout de sa graine pour ensuite la faire plonger bien au fond de sa gueule. Elle se déchaîne sur la queue pendant que son voisin se branle comme un vrai cochon. C'est maintenant son tour de profiter de la chair fraîche de la demoiselle. À quatre pattes, elle lui présente son superbe cul tatoué pour qu'il le défonce avec sa baïonnette. Son anus bien serré autour du pieu, elle se balance au rythme du va-et-vient. Pour leur en mettre plein la vue, elle se retourne et, en ouvrant la bouche bien grand, elle y fait entrer les deux bites toutes enflées en même temps. Les deux hommes sont surexcités et veulent se partager le bonbon encore et encore. Ils vont l'enfiler de chaque côté pour ne pas faire de jaloux !

La séance photo commence avec l'arrivée de la grande coquine aux cheveux noirs et aux gros tétons qui était dans la voiture tout à l'heure. Déjà qu'il était difficile de ne pas lui mater les flotteurs et les jambes, rapport que sa robe était plutôt courte, il est maintenant impossible de ne pas tenir une raideur infernale en la regardant sur toute sa hauteur portée sur des échasses. Si haut que sa jupette lui rase la foufe au-dessus du sillon des babas, et ça c'est haut. Elle, c'est la photographe, et l'autre le mannequin, il faut pas tout mélanger parce que ce qui va se passer tantôt avec le veinard, ne pourrait pas se produire avec la photographe. Le mannequin est une gourmande de première. Elle ferait tout pour voir sa face sur le net. Et y'a pas que son visage, la bonasse se paie aussi une encolure plongeante, des nichons nature bien galbés, des postérieurs de catcheur et une caverne mouillée en permanence. Elle a la libido au plafond cette chatte en chaleur et ce garçon est là juste pour lui mettre le tuyau où il faut pour la calmer. Elle contrôle d'abord l'engin, pourrait-il crémer au bon moment? Lui vérifie son derrière et entame aussitôt l'exercice de fion. Le gars longe les parois du trou de la morue pendant que la professionnelle prend des clichés pour les infos de 18h. Voilà comment de vrais pros mènent à bien une séance photo!

Parfois, un rien suffit. Deux beaux mecs sur un même trottoir. Un croisement ponctué par un regard explicite. Un des deux mâles fait demi -tour illico presto, le pas ferme et décidé. Nul besoin de trouver un sujet de conversation. Ici, les quelques phrases sans queue ni tête ne sont qu'un prétexte pour se regarder l'un l'autre. Nos deux beaux mâles surchauffent à l'idée d'une défonce imminente. Le claquement de la porte précède le zip de la braguette puis le froissement des vêtements. Imaginez ces deux beaux mecs aux visages d'ange, bites droites et fermes, corps imberbes et muscles saillants, se dévorer sans aucune résistance ni limites . Nos deux hommes s'offrent une belle séance de léchage de bites. Le petit brun ouvre grand sa bouche et laisse passivement tomber sa tête sur le kiki dure du beau blondinet. Visiblement, il semble avoir choisi la soumission. Le blond lui empoignera les arrières-trains bien fermement avec ses deux mains avant de passer à l'action et de l'assoir sur sa poutrelle veineuse. Le brun acquiesce : à croupi au dessus de cette bite bien lisse, il relâche un peu son anus puis s'empale lourdement sur le zob jusqu'à ce que les cuisses du blond l'empêche d'aller plus profond. Il en redemande le vicieux et donne des coups de hanches sur la bite pour écarteler son anus déjà bien dilaté. Ils finiront tous deux enlacés l'un à côté de l'autre, une pine dans chaque main.